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PELLEN

PELLEN

Ingénieur de l'exploitation du parc nucléaire d'EDF, en retraite, ayant fait partie de l'Équipe Nationale de crise d'EDF, ainsi que de l'équipe de crise du CNPE de Cruas-Meysse ;
Actuel Président du Collectif pour le Contrôle des Risques Radioactifs (CCRR) basé à Toulon - Saint-Mandrier (83) ;
Porte-parole d'un collectif de cadres et d'ingénieurs retraités du nucléaire.

Tableau de bord

  • Premier article le 12/04/2007
  • Modérateur depuis le 06/06/2007
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Derniers commentaires



  • PELLEN PELLEN 3 avril 2012 11:12

    Il n’est pas nécessaire d’être célèbre ni même scientifique pour adhérer à la démarche, pourvu que vous ayez un rôle sociétal à faire valoir, même modeste. C’est pourquoi je vous engage à contacter le webmaster d’Agoravox, auprès duquel j’ai déposé le nom et le courriel de l’initiateur de l’appel, duquel il convient de préserver la confidentialité. Vous pourrez ainsi le contacter et convenir avec lui de l’opportunité de vous inscrire.


    Bien cordialement,

    André Pellen


  • PELLEN PELLEN 3 avril 2012 09:45

    Je m’empresse de rassurer l’obscurantisme malthusien donnant ici libre cours à sa générosité humaniste très particulière : celle des repus prônant la décroissance économique et le génocide universel passif, au nom de l’intégrité de déesse « nature » et sur l’autel d’un principe de précaution punitif.

    Selon toute vraisemblance, les apôtres de ce nouveau millénarisme seront en effet très prochainement comblés au-delà de leurs désirs : la récession tant appelée de leurs vœux ne semble maintenant qu’une question de mois, l’augmentation du prix de l’énergie - de l’électricité en particulier - qu’une question de jours… Et encore : l’augmentation programmée du prix d’une électricité la moins chère d’Europe ne sera qu’un avant-goût dérisoire, comparée à celle que nous concocte Hollande et les Verts, avec leur sortie partielle du nucléaire !

    Je gage que nos généreux apôtres, n’ayant que l’invective pour tout mode d’expression, le bobard et le racontar pour tout capital culturel, donneront prochainement au pot avec enthousiasme !

     

    André Pellen  

     



  • PELLEN PELLEN 23 mars 2012 16:43

    À Tintin

    Quand la chronique tragico médiatique le dispute au discours millénariste pour servir la propagande et stigmatiser la contradiction factuelle.

    1/ Après 40 ans de bons et loyaux services sans le moindre incident, Phénix, le surgénérateur français de 250 MWe fut arrêté en 2009. À ce jour, ce réacteur à neutrons rapides (RNR) parmi les tous premiers du monde, sinon le premier, affiche la plus longue durée de fonctionnement de tout le parc électronucléaire français ! Par ailleurs, l’état des lieux mondial suivant se passe de tout commentaire :

    Chine  : construction en cours de CEFR (60 MWth) divergence 2010

    Inde : exploitation de FBTR (50MWth) ; construction de PFBR (500 MWe)
    Russie : Exploitation de BN600  ; construction en cours de BN800 (800 MWe)
    Japon : Exploitation de Joyo (50MWth) ; relance de l’exploitation de Monju (250MWe) ;
     Etude du projet JSFR de 1000 MWe.

    2/ Dans un RNR, le plutonium est certes le combustible de référence, mais le principe de fonctionnement du surgénérateur est tel qu’il est capable de brûler la composante la plus pénalisante de ses propres déchets : les actinides mineurs, la composante à longue durée de vie. Les produits de fission classiques restants étant tout à fait gérables.

    Par ailleurs, contrairement au RBMK de Tchernobyl, le surgénérateur est doté d’un comportement stable (ou auto stabilisant) en cas d’augmentation anormale de la puissance. De plus, en cas de perte de toute alimentation électrique, les circuits d’ultime secours (nécessaires au refroidissement du coeur par évacuation de la puissance résiduelle) fonctionnent en convection naturelle grâce à des échangeurs Sodium-Air, contrairement à Fukushima où il fut absolument nécessaire d’approvisionner l’installation en eau. Si la centrale de Fukushima avait été dotée de surgénérateurs, le site aurait été sauvegardé et aurait même pu reprendre sa production électrique ! Cet état de fait est également lié à la conception retenue pour les RNR français – réacteur piscine à très importante inertie thermique – et au réfrigérant, le sodium qui ne bout qu’à plus de 850°C.

    Les fous ne sont certainement pas ceux qu’on croit... et la providence fasse que la nucléocratie triomphe toujours de la médiocratie.

    André Pellen





  • PELLEN PELLEN 22 mars 2012 08:42

    À Magnon


    Merci infiniment de m’avoir alerté. Je viens de réagir vigoureusement auprès du webmaster d’Agoravox.


  • PELLEN PELLEN 21 mars 2012 09:21

    Au péripate


    Voilà l’argument spécieux sorti par les antis, lorsqu’ils sont à bout d’arguments !
    Ne vous en déplaise, cher ami, c’est bel et bien le marché américain qui a quasiment inventé l’électronucléaire industriel... et c’est même grâce aux capitaux dégagés par ce gigantesque marché que la France a pu financer la construction de son parc de réacteurs.
    Quant à la tarte à la crème de l’assurance, peut-être pourriez-vous exiger qu’il soit possible d’assurer les faits et destructions de guerre, les ravages de tremblements de terre et d’autres tsunami... Avez-vous seulement imaginé les conséquences de la rupture d’un barrage comme celui de Serre-Ponçon, après un tremblement de terre ?
    Si l’on suit votre logique, tout ce qui n’est pas assurable ne devrait donc pas être conçu par les hommes, que leur vie en soit ou non rendue plus douce et plus infiniment confortable. Selon vous, la conception intégriste du principe de précaution devrait ainsi les conduire à s’imposer de ne recourir qu’à une électricité précaire et hors de prix.
    Comme toujours parmi les plus lucides, le poète a dit « naître c’est le risque de mourir ». Pourtant, il se trouve aujourd’hui des gens bien près de nous convaincre que ce n’est plus vrai, que le concept de mort accidentelle n’existe plus sans qu’il soit possible d’y trouver un responsable physique ou moral.

    André Pellen 
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