@Claudec, Désolé si je vous ai vexé avec le terme « crétin », et je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses. Mon commentaire n’avait pas pour but d’infirmer que l’augmentation de la démographie n’a pas de conséquence sur les problèmes écologiques avenirs, mais mon désaccord porte sur le l’utilisation de la croyance du ruissellement, une lubie d’économistes, pour justifier ce problème. Votre réponse à mon commentaire suscite néanmoins quelques questions (en dehors de celle exposées par Alren) : En l’an 1, sur les 250 millions d’habitants combien étaient pauvres profonds dans les chasseurs-cueilleurs ? Quelle est la définition d’un pauvre profond ?
@philippe baron-abrioux Vous semblez avoir été irrité par mon message qui ne vous était pas adressé (en revanche, le message, que j’ai adressé à votre attention, ne soulève aucune remarque ???) . Dans le message adressé à @L’enfoiré, vous réagissez sur le mot « masturbation » et vous construisez votre analyse critique, à mon encontre sur ce seul mot, pour le reste rien (solidarité, paradis fiscal, ...). Je vous informe que le mot masturbation n’a pas seulement la définition étriqué et rigoriste, avec laquelle vous semblez intellectuellement pourvu. La connaissance ouvre à des possibles qui vous sont étrangers. Je vous recommande de consulter le TLF (point B). Même vieilli, ce mot garde tout son sens et fait parti de notre culture (il existe la masturbation intellectuelle, étonnant non !). Néanmoins, si vous avez un problème à propos de la masturbation, tel que vous le concevez (et pour tout autres sujets que vous ne souhaitez pas aborder dans le fond), je reste à votre écoute. Votre stress post-traumatique refoulé concernant la masturbation semble avoir besoin de soin. Dans l’attente de vous lire après votre traitement, bien cordialement.
@Clocel Je crois que certains sont restés bloqués intellectuellement, le jour où ils ont lu leur premier livre (« Oui-Oui mène l’enquête » ?). Çà devait être un 1er avril ? L’article commence mal : « la théorie du ruissellement ». Le ruissellement n’est pas une théorie, mais une croyance. En effet, l’Économie est une science humaine (« une science molle »), avec ses convictions, ses croyances, ses « modèles » et ses certitudes, bien éloignée des lois scientifiques telle que « La théorie de la relativité » d’Einstein. Pour preuve, la perspicacité avec laquelle, les économistes, éditocrates et autres oligarques ont anticipé la crise économique de 2008. Pour en revenir à l’article, l’auteur écrit ceci : "La hauteur de la pyramide sociale exprimant l’écart de richesse entre
les plus pauvres et le(s) plus riche(s), croît proportionnellement à son
développement en volume (augmentation de la population globale)« . Là, on ne tombe plus dans la croyance, mais dans l’ignorance ou le crétinisme. Quelques données :
Évolution de la population entre 1996 et 2017 : 12.61%. Évolution du TOP 500 des plus riches 713.75% pendante la même période,
Évolution de la population entre 1997 et 2017 : 12.23%. Évolution du TOP 10 des plus riches 1051.52% pendante la même période.
Conclusion (à l’auteur) : on peut avoir des croyances en tant qu’ »Ecologue, humaniste et dénataliste. Concepteur et fondateur de la pyramidologie sociale« et se cantonner à ses seules »compétences" (ou incompétences) dans ces matières. Mais svp, ne faites pas perdre le temps des lecteurs de AV.
@L’enfoiré « A que coucou » est gentil. « A que coucou » n’a pas pensé à faire cela avant le passage de l’ouragan ??? C’est dommage ! Mais « A que coucou » est solidaire (selon la définition « suggérée » par @philippe baron-abrioux) et « A que coucou » a accueilli pendant l’ouragan, sa famille, ses amis milliardaires et son personnel non déclaré. « A que que coucou » est gentil et magnanime. Maintenant, « A que coucou » ouvre ses portes après le déluge, c’est un prince... (@philippe baron-abrioux peut enfin se masturber, il découvre la « solidarité »). « A que cocu » est gentil !