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rpplbis

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  • Premier article le 16/12/2010
  • Modérateur depuis le 07/03/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • rpplbis rpplbis 5 mars 18:44

    Sans compter les violences faites aux hommes.

    Allez-lire Godrèche et moi



  • rpplbis rpplbis 5 mars 17:45

    @GoldoBlack Dites à Judith Godrèche et à toutes celles et tous ceux qui l’écoutent qu’elle est égocentrée et qu’elle n’est pas la pire des victimes. Elle est même riche et célèbre, reçue et écoutée partout même au SÉNAT.
    Faites-moi recevoir en commission au SÉNAT.



  • rpplbis rpplbis 2 mars 16:20

    Résumé

    En non-conciliation, la juge a considéré « qu’il ressort du dossier que c’est le père qui s’occupe des enfants au quotidien ». J’ai eu la résidence sur cette remarque qui synthétise un dossier constitué d’une trentaine de témoignages, montrant que je menais les enfants à la crèche, à l’école, au conservatoire, à la piscine, à la danse, au cinéma, en vacances (y compris les grandes vacances, y compris tout seul chez mes beaux-parents sans ma compagne, leur mère), chez les médecins quand il le fallait…

    Cette situation a duré deux ans, la mère demandant au juge de repousser l’échéance parce que son dossier n’était pas prêt, tout en prétendant que les enfants lui manquent et alors que je lui proposais une garde alternée.

    Un expert psychiatre a « postulé » selon son mot que ma mère était dépressive, sans l’examiner, violant ainsi le serment d’Hippocrate. Je suis selon lui identifié à ma mère (essayez de prouver le contraire !) et je veux, selon lui, réparer ma mère postulée dépressive en rendant la mère de mes enfants dépressive et en faisant le père et la mère auprès de nos enfants. Je vole le rôle de mère à la mère. Voilà pourquoi la mère ne mes enfants ne veut pas s’en occuper, me traitant de macho chaque fois que je lui demande de le faire (je suis obligé lui demander, elle ne le fait pas toute seule).

    La double contrainte est totale : si je ne m’occupe pas des enfants, ils vont logiquement chez leur mère, et si je m’en occupe, ce serait un dérangement psychologique personnel, pour lequel il a fallu inventer une dépression à ma mère, ils doivent aussi aller chez leur mère.

    Nouveau juge qui accepte toutes les demandes de retard de la mère. Deux ans après, il prononce le divorce aux torts partagés, maintient les enfants chez moi. Il trouve qu’il n’y a rien d’utile pour décider dans le rapport du psychiatre et nomme une psychologue et une enquêtrice sociale pour voir la situation matérielle de la mère (comme si elle ne pouvait pas le dire elle-même  : il fait le dossier d’une des parties, il fait le dossier de la mère). La psychologue crie pour m’intimider, elle crie devant mes enfants dont elle doit recueillir l’avis ! (ses cris m’envahissent soudain sans que je puisse l’empêcher). L’enquêtrice se procure on ne sait comment le rapport du psychiatre, en reprend la teneur (ma mère dépressive… etc. jusqu’au vol du rôle de mère à la mère) et le juge dit l’exact et incompatible contraire de ce qu’il a dit (il dit : cette thèse est ce qu’il faut pour décider). Il considère au passage que cette enquêtrice a compétence d’expert en psychiatrie !
    Je fais appel. En appel les juges estiment que les considérations sur ma taille à peine moyenne, mon air las et fatigué, les yeux d’un bleu intense de la mère, sa peau bronzée, son T-shirt de coton sur sa peau bronzée, la considération que la mère est fine et jolie sont de la description. Je maintiens que c’est de l’insulte physique de type raciste (il n’y a pas de race, mais il y a un jugement porté sur le physique d’une partialité qui n’appartient pas à l’équilibre de la justice, qui n’appartient pas à notre société, et qui associe des qualités morales à des caractéristiques physiques, par ailleurs falsifiées).

    Il y a bien d’autres choses.




    Je suis plus victime que Judith Godrèche et pourtant, ma parole ne passe nulle part, tandis que Judith Godrèche est plainte de partout et que la justice a ouvert un dossier. C’est le sens de mon article.



  • rpplbis rpplbis 2 mars 16:13

    @ZenZoe Oui, j’ai été accusé à tort de quelque chose.
    J’ai été accusé de « voler le rôle de mère à la mère de mes enfants ».
    J’ai été accusé par un psychiatre. Les juges ont validé cette accusation.
    Le psychiatre a fondé cette caractéristique de ma personne sur un postulat. Il a postulé que ma mère était dépressive. Avec ce verbe « postuler », il dit bien qu’il ne sait pas l’état de santé mentale de ma mère, et qu’il lui créé une personnalité qui lui permet de me rendre coupable. Il a violé les serment d’Hippocrate en portant un diagnostic sur quelqu’un qu’il n’a pas rencontré.
    Cependant, les juges, quatre juges puisque je suis allé en appel, ont validé ce mensonge.
    Vous trouverez des éléments de cette accusation dans mes autres articles.
    Je suis beaucoup plus victime que Godrèche, qui a tout de même fait des choses pendant des années, avec l’accord de tous, de ses parents entre autres... C’est le sens de mon article.
    Je n’avais aucune réalité au Tribunal. Le juge François Sottet a haussé les épaules devant une information que je lui donnais. Il me disait clairement que je n’avais statut juridique pour lui.
    Oui j’ai été accusé de m’occuper de mes enfants. Les juges se sont appuyés sur « des rôles parentaux » pour décider que j’étais coupable, la mère de mes enfants étant, bien entendu, victime.
    Ce que la violence hors-la-loi que m’a appliquée le tribunal et tout son personnel dit que les hommes sont coupables quoiqu’ils fassent. En général, les hommes attrapent les femmes par les cheveux pour les violer dans la cave. Mais un père qui fait les courses, les repas, la vaisselle, qui mène les enfants à la crèche, à l’école, en vacances, au cinéma, est aussi un macho : il exerce la domination masculine en « volant le rôle de mère à la mère ».



  • rpplbis rpplbis 24 février 16:25

    M Chalot, je vous engage à lire mes articles et à me protéger de la violence qui m’a été faite par le tribunal, parce que j’étais un homme.

    Il me semble que je vous ai déjà informé mais que vous avez nié les faits, ce qui est en principe impossible.

    Je vous renouvelle ma demande de prendre en compte la privation des mes droits par les juges, ma souffrance et ma lutte.

    Le dessin que vous présentez n’appartient pas à notre société. Présenter la moitié de l’humanité comme un ensemble de cogneurs est évidemment faux.

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