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  • Premier article le 16/12/2010
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Derniers commentaires



  • rpplbis rpplbis 14 avril 2023 16:01

    Troisième lettre pour Sandrine Rousseau, députée 

    Madame la députée,

    Vous avez déclaré que François Bayou avait eu « des comportements qui sont de nature à briser la santé morale des femmes ».

    Les juges ont eu envers mes enfants et envers moi-même des comportements de nature à briser ma santé morale et celle de mes enfants, à tel point que vingt ans après, je suis toujours en lutte pour recouvrer mes droits de citoyen et les droits de mes enfants.

    Ils m’ont diffamé de nombreuses fois. La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Il y a diffamation même si l’allégation est faite sous forme déguisée ou dubitative, ou si elle est insinuée. Si l’accusation n’est pas un fait vérifiable, l’allégation relève de l’injure.

    Les juges ont validé le texte d’un expert psychiatre qui s’étonne que je ne m’interroge pas sur mon homosexualité. L’homophobie est punie par la loi. Mais qu’est-ce qu’on fait quand les juges sont homophobes, quand on n’est pas concerné par l’homosexualité, qu’on ne connait pas d’homosexuel, qu’on ne connait pas d’association d’homosexuels ?

    Je suis en lutte dans une grande souffrance.

    Les juges ont validé le texte d’une assistante sociale qui prétend que je « jalousais mon épouse d’avoir continué sa vie d’artiste alors que je devais me contenter d’une simple vie de fonctionnaire » ? Pour m’insulter, les magistrats ne rechignent pas à insulter tous les fonctionnaires !

    Cette même assistante écrit : « hypocondriaque, il s’inventait sans arrêt des maladies imaginaires qu’il croyait graves, se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres, ce qui de l’avis de la jeune femme n’a servi à rien. » Je précise que mon épouse a deux ans de plus que moi et que je ne suis jamais nommé le jeune homme. Je n’ai jamais eu de nombreux médecins et psychiatres. Quand cette assistante sociale est venue chez moi, elle ne m’a pas parlé de cela. Je ne lui en ai pas parlé puisque cela n’existe pas, que je n’imaginais pas que quelqu’un puisse dire cela de moi, je n’imaginais pas que l’assistante sociale avait cela en tête.

    Le comportement de cette envoyée des juges et le comportement des juges altère gravement ma santé morale. Je fais des efforts énormes pour garder de la joie de vivre.

    Sur ce point, la justice est dans l’obligation de dire : madame dit que son mari se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres pour soigner ses angoisses, elle estime que cela n’a servi à rien. Monsieur dit que ce n’est pas vrai. Nous ne pouvons rien en savoir et ne pouvons inclure cet aspect des choses dans notre décision.

    Ils ont fait le contraire : ils ont validé la parole de la femme sans l’interroger, sans mener d’enquête, très facile à faire sur ce point comme sur tant d’autres. Ils ont considéré sa parole comme prouvée.

    Le fait que mon épouse qui raconte cela estime que cela n’a servi à rien brise la balance de la justice.

    Ces allégations qui ne me concernent en rien me font du mal, qui font du mal au rapport entre les femmes et les hommes.

    Il n’y a aucune domination masculine dans le fait que des juges aient eu ce comportement nauséabond. Dans les trois points que j’ai extraits du dossier, (il y en a une centaine de ce tabac-là), nulle part mon avis n’est représenté.

    Selon moi, ces envoyés des juges et les magistrats qui les valident comme experts, et valident leurs textes, avec ces ignominies dedans sont mes égaux, d’après les droits de l’homme. Et je ne leur ai fait aucun mal. Le juge F S (dans le courrier envoyé à Mme Sandrine Rousseau, je mets son nom) a validé ces monstruosités, juridiquement des diffamations. En appel, trois magistrats ont écrit que je n’avais pas fait la preuve de la partialité de l’enquêtrice sociale. De ce fait, ils nous privent, mes enfants et moi, de l’appel qui doit tout rejuger. Et puis, bien sûr, j’ai fait cette preuve un grand nombre de fois.

    Il m’est nécessaire pour pouvoir sortir de la souffrance d’avoir subi de telles attaques immondes (je vous en ai donné d’autres dans mes deux précédents courriers) que tout soit rejugé, en application de la loi, loi appliquée à des faits avérés. Ce sont de fausses allégations, qui tombent sous le coup de la loi concernant la diffamation qui ont servi de base à la décision, d’une part.

    D’autre part, les magistrats ont décidé selon des « rôles parentaux » que je ne respecterais pas, mon épouse en étant victime. Même avec les fausses allégations, la décision devait être de me garder la résidence des enfants, puisque sans s’en rendre compte, les juges ont reconnu que c’est moi qui m’occupais des enfants et de la maison. C’est ce que demande les féministes, me semble-t-il ?

    C’est-à-dire qu’ils nous ont remis dans des rôles genrés, par la calomnie et le mensonge, la diffamation.

    Je vous demande de me recevoir et de contribuer à la restitution de mes droits de citoyen et de ceux de mes enfants. Il ne peut entrer dans « l’intérêt de l’enfant » de salir leur père par des considérations sans aucun rapport avec la réalité.

    Le harcèlement qui a été la méthode des magistrats dans ma vie (ils ont répété abondamment leurs diffamations) est « un comportement de nature à briser la santé morale d’un justiciable » à mille lieues de tout ce qui a été dit sur lui.

    Recevez moi et apportez votre aide pour que cette humiliation d’un homme déconstruit cesse.

    Je comprends que mes concitoyens ne veulent pas savoir que des magistrats sont capables de diffamer un justiciable, cependant, je veux mon rétablissement, ma dignité et m’y emploie activement. Je m’y emploierai jusqu’à l’obtenir.



  • rpplbis rpplbis 11 avril 2023 16:53

    Troisième lettre pour Sandrine Rousseau députée (refusée par agoravox) (sans réponse à ce jour)

    Madame la députée,

    Vous avez déclaré que François Bayou avait eu « des comportements qui sont de nature à briser la santé morale des femmes ».

    Les juges ont eu envers mes enfants et envers moi-même des comportements de nature à briser ma santé morale et celle de mes enfants, à tel point que vingt ans après, je suis toujours en lutte pour recouvrer mes droits de citoyen et les droits de mes enfants.

    Les juges m’ont diffamé de nombreuses fois. "La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Il y a diffamation même si l’allégation est faite sous forme déguisée ou dubitative, ou si elle est insinuée. Si l’accusation n’est pas un fait vérifiable, l’allégation relève de l’injure."

    Les juges ont validé le texte d’un expert psychiatre qui s’étonne que je ne m’interroge pas sur mon homosexualité. L’homophobie est punie par la loi. Mais qu’est-ce qu’on fait quand les juges sont homophobes, quand on n’est pas concerné par l’homosexualité, qu’on ne connait pas d’homosexuel, qu’on ne connait pas d’association d’homosexuels ?

    Je suis en lutte dans une grande souffrance.

    Les juges ont validé le texte d’une assistante sociale qui prétend que je « jalousais mon épouse d’avoir continué sa vie d’artiste alors que je devais me contenter d’une simple vie de fonctionnaire » ? Pour m’insulter, les magistrats ne rechignent pas à insulter tous les fonctionnaires !

    Cette même assistante écrit : « hypocondriaque, il s’inventait sans arrêt des maladies imaginaires qu’il croyait graves, se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres, ce qui de l’avis de la jeune femme n’a servi à rien. » Je précise que mon épouse a deux ans de plus que moi et que je ne suis jamais nommé le jeune homme. Je n’ai jamais eu de nombreux médecins et psychiatres. Quand cette assistante sociale est venue chez moi, elle ne m’a pas parlé de cela. Je ne lui en ai pas parlé puisque cela n’existe pas, que je n’imaginais pas que quelqu’un puisse dire cela de moi, je n’imaginais pas que l’assistante sociale avait cela en tête.

    Le comportement de cette envoyée des juges et le comportement des juges altère gravement ma santé morale. Je fais des efforts énormes pour garder de la joie de vivre.

    Sur ce point, la justice est dans l’obligation de dire : madame dit que son mari se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres pour soigner ses angoisses, elle estime que cela n’a servi à rien. Monsieur dit que ce n’est pas vrai. Nous ne pouvons rien en savoir et ne pouvons inclure cet aspect des choses dans notre décision.

    Ils ont fait le contraire : ils ont validé la parole de la femme sans l’interroger, sans mener d’enquête, très facile à faire sur ce point comme sur tant d’autres. Ils ont considéré sa parole comme prouvée.

    Le fait que mon épouse qui raconte cela estime que cela n’a servi à rien brise la balance de la justice.

    Ces allégations qui ne me concernent en rien me font du mal, qui font du mal au rapport entre les femmes et les hommes.

    Il n’y a aucune domination masculine dans le fait que des juges aient eu ce comportement nauséabond. Dans les trois points que j’ai extraits du dossier, (il y en a une centaine de ce tabac-là), nulle part mon avis n’est représenté.

    Selon moi, ces envoyés des juges et les magistrats qui les valident comme experts, et valident leurs textes, avec ces ignominies dedans sont mes égaux, d’après les droits de l’homme. Et je ne leur ai fait aucun mal. Le juge F S (dans le courrier envoyé à Mme Sandrine Rousseau, je mets son nom) a validé ces monstruosités, juridiquement des diffamations. En appel, trois magistrats ont écrit que je n’avais pas fait la preuve de la partialité de l’enquêtrice sociale. De ce fait, ils nous privent, mes enfants et moi, de l’appel qui doit tout rejuger. Et puis, bien sûr, j’ai fait cette preuve un grand nombre de fois.

    Il m’est nécessaire pour pouvoir sortir de la souffrance d’avoir subi de telles attaques immondes (je vous en ai donné d’autres dans mes deux précédents courriers) que tout soit rejugé, en application de la loi, loi appliquée à des faits avérés. Ce sont de fausses allégations, qui tombent sous le coup de la loi concernant la diffamation qui ont servi de base à la décision, d’une part.

    D’autre part, les magistrats ont décidé selon des « rôles parentaux » que je ne respecterais pas, mon épouse en étant victime. Même avec les fausses allégations, la décision devait être de me garder la résidence des enfants, puisque sans s’en rendre compte, les juges ont reconnu que c’est moi qui m’occupais des enfants et de la maison. C’est ce que demande les féministes, me semble-t-il ?

    C’est-à-dire qu’ils nous ont remis dans des rôles genrés, par la calomnie et le mensonge, la diffamation.

    Je vous demande de me recevoir et de contribuer à la restitution de mes droits de citoyen et de ceux de mes enfants. Il ne peut entrer dans « l’intérêt de l’enfant » de salir leur père par des considérations sans aucun rapport avec la réalité.

    Le harcèlement qui a été la méthode des magistrats dans ma vie (ils ont répété abondamment leurs diffamations) est « un comportement de nature à briser la santé morale d’un justiciable » à mille lieues de tout ce qui a été dit sur lui.

    Recevez moi et apportez votre aide pour que cette humiliation d’un homme déconstruit cesse.



  • rpplbis rpplbis 22 mars 2023 17:55

    Contre l injustice, je continuerai.

    Troisième lettre pour Sandrine Rousseau députée 

    Madame la députée,

    Vous avez déclaré que François Bayou avait eu « des comportements qui sont de nature à briser la santé morale des femmes ».

    Les juges ont eu envers mes enfants et envers moi-même des comportements de nature à briser ma santé morale et celle de mes enfants, à tel point que vingt ans après, je suis toujours en lutte pour recouvrer mes droits de citoyen et les droits de mes enfants.

    Ils m’ont diffamé de nombreuses fois. La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Il y a diffamation même si l’allégation est faite sous forme déguisée ou dubitative, ou si elle est insinuée. Si l’accusation n’est pas un fait vérifiable, l’allégation relève de l’injure.

    Les juges ont validé le texte d’un expert psychiatre qui s’étonne que je ne m’interroge pas sur mon homosexualité. L’homophobie est punie par la loi. Mais qu’est-ce qu’on fait quand les juges sont homophobes, quand on n’est pas concerné par l’homosexualité, qu’on ne connait pas d’homosexuel, qu’on ne connait pas d’association d’homosexuels ?

    Je suis en lutte dans une grande souffrance.

    Les juges ont validé le texte d’une assistante sociale qui prétend que je « jalousais mon épouse d’avoir continué sa vie d’artiste alors que je devais me contenter d’une simple vie de fonctionnaire » ? Pour m’insulter, les magistrats ne rechignent pas à insulter tous les fonctionnaires !

    Cette même assistante écrit : « hypocondriaque, il s’inventait sans arrêt des maladies imaginaires qu’il croyait graves, se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres, ce qui de l’avis de la jeune femme n’a servi à rien. » Je précise que mon épouse a deux ans de plus que moi et que je ne suis jamais nommé le jeune homme. Je n’ai jamais eu de nombreux médecins et psychiatres. Quand cette assistante sociale est venue chez moi, elle ne m’a pas parlé de cela. Je ne lui en ai pas parlé puisque cela n’existe pas, que je n’imaginais pas que quelqu’un puisse dire cela de moi, je n’imaginais pas que l’assistante sociale avait cela en tête.

    Le comportement de cette envoyée des juges et le comportement des juges altère gravement ma santé morale. Je fais des efforts énormes pour garder de la joie de vivre.

    Sur ce point, la justice est dans l’obligation de dire : madame dit que son mari se faisait suivre par de nombreux médecins et psychiatres pour soigner ses angoisses, elle estime que cela n’a servi à rien. Monsieur dit que ce n’est pas vrai. Nous ne pouvons rien en savoir et ne pouvons inclure cet aspect des choses dans notre décision.

    Ils ont fait le contraire : ils ont validé la parole de la femme sans l’interroger, sans mener d’enquête, très facile à faire sur ce point comme sur tant d’autres. Ils ont considéré sa parole comme prouvée.

    Le fait que mon épouse qui raconte cela estime que cela n’a servi à rien brise la balance de la justice.

    Ces allégations qui ne me concernent en rien me font du mal, qui font du mal au rapport entre les femmes et les hommes.

    Il n’y a aucune domination masculine dans le fait que des juges aient eu ce comportement nauséabond. Dans les trois points que j’ai extraits du dossier, (il y en a une centaine de ce tabac-là), nulle part mon avis n’est représenté.

    Selon moi, ces envoyés des juges et les magistrats qui les valident comme experts, et valident leurs textes, avec ces ignominies dedans sont mes égaux, d’après les droits de l’homme. Et je ne leur ai fait aucun mal. Le juge F S (dans le courrier envoyé à Mme Sandrine Rousseau, je mets son nom) a validé ces monstruosités, juridiquement des diffamations. En appel, trois magistrats ont écrit que je n’avais pas fait la preuve de la partialité de l’enquêtrice sociale. De ce fait, ils nous privent, mes enfants et moi, de l’appel qui doit tout rejuger. Et puis, bien sûr, j’ai fait cette preuve un grand nombre de fois.

    Il m’est nécessaire pour pouvoir sortir de la souffrance d’avoir subi de telles attaques immondes (je vous en ai donné d’autres dans mes deux précédents courriers) que tout soit rejugé, en application de la loi, loi appliquée à des faits avérés. Ce sont de fausses allégations, qui tombent sous le coup de la loi concernant la diffamation qui ont servi de base à la décision, d’une part.

    D’autre part, les magistrats ont décidé selon des « rôles parentaux » que je ne respecterais pas, mon épouse en étant victime. Même avec les fausses allégations, la décision devait être de me garder la résidence des enfants, puisque sans s’en rendre compte, les juges ont reconnu que c’est moi qui m’occupais des enfants et de la maison. C’est ce que demande les féministes, me semble-t-il ?

    C’est-à-dire qu’ils nous ont remis dans des rôles genrés, par la calomnie et le mensonge, la diffamation.

    Je vous demande de me recevoir et de contribuer à la restitution de mes droits de citoyen et de ceux de mes enfants. Il ne peut entrer dans « l’intérêt de l’enfant » de salir leur père par des considérations sans aucun rapport avec la réalité.

    Le harcèlement qui a été la méthode des magistrats dans ma vie (ils ont répété abondamment leurs diffamations) est « un comportement de nature à briser la santé morale d’un justiciable » à mille lieues de tout ce qui a été dit sur lui.

    Recevez moi et apportez votre aide pour que cette humiliation d’un homme déconstruit cesse.

    -S.


  • rpplbis rpplbis 27 février 2023 14:24

    Les juges m’ont diffamé, ne croyant que ma femme. Ils ont menti, ne le cachant même pas. Ils ont « postulé » selon leur mot que ma mère était dépressive, sans la rencontre, ni la faire parler, de loin, comme ça « ta mère est dépressive » et que je ne respectais pas les rôles genrés pour réparer fantasmatiquement ma mère dépressive selon leur postulat.

    J’ai plusieurs articles sur ce site. Je veux reprendre le combat juridique mais je ne peux y aller seul. Je suis allé en appel, les juges ont menti encore plus, couvrant leur collègue.

    Je dépose des textes à l’Association pour l’Autobiographie. Ils font une fiche de lecture et l’archive, tout le monde peut les consulter. Le dernier : « Monsieur le Président, je suis citoyen, j’ai droit à la loi de la République » (le Président est gardien de la constitution et ne peut accepter que la vie d’un citoyen soit diminuée par des diffamations).

    Il n’y a pas de féminisme voulant l’égalité sans quoi j’aurais de la presse... et la justice reprendrait tout à la base et me réhabiliterait. 

    https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/il-n-y-a-pas-de-feministes-231409



  • rpplbis rpplbis 10 décembre 2022 14:22

    Comment vous contacter ? Sur le site que vous indiquez, je ne peux envoyer mon message, mon numéro est incomplet (je ne parle pas l’anglais) comme s’il y avait une question de format sans qu’il me dise le format qu’il reconnait.

    Mon message s’adresse à vous pour le livre que vous avez écrit sur la violence faite aux enfants dans les divorces. En ce qui me concerne, cette violence a été de le fait des magistrats et de leurs trois envo yés, un psychiatre, une psychologue, une assistante sociale.

    Voici ce message :Les juges ont été d’une violence maximale avec mes enfants (et avec moi). Ils ont demandé aux enfants s’ils voulaient habiter chez papa ou chez maman, ce qui est déjà une violence inacceptable. Mais ensuite, ils ont refusé d’entendre qu’ils voulaient habiter avec leur père, argumentant cette fois d’autre chose : que rien dans la loi les obligeait à tenir compte de l’avis des enfants, ce qu’ils savaient avant de leur demander. Vous trouverez les éléments principaux de cette violence gratuite et absolue dans mes articles. J’ai déposé des textes à l’association pour l’autobiographie, le dernier rassemblant une cinquantaine des mille lettres que j’ai écrites sous le titre : « Monsieur le Président, je suis citoyen, j’ai droit à la loi de la République ».
    Je vous souhaite un bon dimanche.

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