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Yannick Harrel

Yannick Harrel

Passé par les fourches caudines de la sociologie, du droit et de l'ingénierie minière, j'ai amorcé une réflexion sur la Cyberstratégie depuis 2007 suite à mon cheminement universitaire et professionnel. Lequel m'a conduit à partager mes analyses en diverses revues spécialisées et généralistes comme DSI, la Nouvelle Revue de Géopolitique ou la Revue Conflits ainsi qu'en plusieurs ouvrages collectifs. Je suis intervenu pour le compte de plusieurs institutions nationales et internationales, ainsi que pour des établissements publics et privés. Je me suis spécialisé dans les questions de création, de protection et de valorisation des données ainsi que de l'emploi de l'intelligence artificielle en tant que transition anthropologique. Dans le cadre de ma thèse en ingénierie, j'ai été amené à évaluer les modalités et les perspectives de la transition de l'industrie automobile vers l'électromobilité.
 
Je suis en outre auteur de plusieurs ouvrages devenus des références : La cyberstratégie russe (2013), premier ouvrage francophone du genre ; Cyberstratégie économiques et financières (2ème édition, 2014), manuel pratique pour les étudiants intéressés par l'interaction entre le numérique et la sphère économico-financière ; Automobiles 3.0 (2016), traitant des problématiques et évolutions futures de ce secteur industriel où l'électronique et le numérique sont devenus des composants incontournables des véhicules modernes. Tous parus aux éditions Nuvis : http://www.nuvis.fr
J'ai aussi pris part à des ouvrages collectifs, tel Stratégies dans le cyberespace (Esprit du Livre) ou La dimension historique de la peine (Economica).
Récipiendaire du prix Amiral Marcel Duval 2011 décerné par la Revue de Défense Nationale.
 
Ma curiosité intellectuelle ne m'interdisant pas pour autant d'intervenir en d'autres domaines où il me serait possible d'apporter mon modeste écot et ma passion en la circonstance.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/08/2007
  • Modérateur depuis le 17/09/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 13 novembre 2014 17:42

    Bonjour,

    En premier lieu merci à tous pour vos réactions, regrettant par manque de temps de pouvoir y répondre de manière circonstanciée.

    Toutefois, je souhaite apporter quelques éclairages suite à mon article :

    * Il s’agit moins de Formule 1, qui n’est qu’un prétexte contemporain, que de sport automobile en règle générale. Disons que la Formule 1 a ceci de singulier qu’elle génère de plus en plus d’argent mais avec de moins en moins d’empathie de la part du public pour des raisons diverses allant de la facture écologique (encore que des progrès phénoménaux ont été réalisés ces derniers années grâce à l’hybridation) au manque de réelle sportivité où l’électronique remplace la virtuosité au volant en passant par l’écrasante domination technique d’un ou de deux constructeurs qui annihile toute concurrence et par là même tout intérêt pour la saison.
    * Il est surtout question d’homme en réalité, de se poser pourquoi ceux-ci acceptent de prendre des risques pour eux (je ne parle pas des chauffards qui s’amusent sur la route à zigzaguer entre les autres automobilistes avec une voiture qu’ils croient maîtriser, j’insiste sur le verbe croire) ? Et de l’aseptisation rampante des compétitions, et par projection, de la société où le risque est craint, et si possible, banni. Or quelle est ce type de société où l’on protège quelqu’un contre son gré ? Quid de l’éthique de responsabilité ? C’est une réflexion de philosophie politique comme existentielle.
    * L’erreur est souvent de confondre amour de l’automobile avec vitesse, or des rassemblements et même des concours d’élégance institutionnalisés ou improvisés existent et ne nécessitent pas de faire sauter les compteurs, réunissant énormément de passionnés. Et si la vitesse procure une sensation très particulière, elle doit impérativement être maîtrisée par le pilote et non le contraire (l’effet d’euphorie et d’invincibilité est une erreur qui se paie cher). Si d’un côté je m’insurge contre la répression routière qui est en réalité une taxation déguisée (sachant que la grande majorité des contraventions le sont pour des excès entre 1 et 10 km/h), je fustige tout autant ceux qui se permettent de faire des « pointes » pour gonfler leur ego, a fortiori lorsqu’ils mettent sciemment en danger autrui.

    Merci une fois encore pour vos interventions que j’ai pris plaisir à lire.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 31 juillet 2012 05:24

    Bonjour et merci à tous pour vos réactions tout en m’excusant d’y répondre quelque peu tardivement.

    Cette immixtion pousée et peu appréciée des politiques à travers notamment ce que l’on appelle des lois mémorielles a suscité une levée de boucliers voici quatre ans avec l’appel de Blois réunissant nombre d’historiens pour protester contre cet état de fait. En vérité, cette fronde fut précédée par un mouvement d’humeur quatre années plus tôt, en 2005, où d’illustres signataires exprimèrent en des termes incisifs leur refus d’une aggravation de la situation. Extrait que je vous livre ici : 

    L’histoire n’est pas un objet juridique. Dans un État libre, il n’appartient ni au Parlement ni à l’autorité judiciaire de définir la vérité historique. La politique de l’État, même animée des meilleures intentions, n’est pas la politique de l’histoire. C’est en violation de ces principes que des articles de lois successives – notamment lois du 13 juillet 1990, du 29 janvier 2001, du 21 mai 2001, du 23 février 2005 – ont restreint la liberté de l’historien, lui ont dit, sous peine de sanctions, ce qu’il doit chercher et ce qu’il doit trouver, lui ont prescrit des méthodes et posé des limites. Nous demandons l’abrogation de ces dispositions législatives indignes d’un régime démocratique.


    Je réitère que lorsque l’on s’échine à faire le procès du passé et des morts, c’est que l’on ne souhaite ou l’on ne peut guère avoir d’emprise sur le présent et encore moins sur le futur.

    Tel n’est pas le rôle du politique qui n’obéit pas aux mêmes règles et aux mêmes visées que le savant.


    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 25 décembre 2011 16:59

    Bonjour,

    Merci et très volontiers pour les liens ! Et bel article de la saga OWS publié hier que j’ai pris un certain plaisir à lire, ou plutôt un plaisir certain.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 24 décembre 2011 17:35

    Bonjour,

    Merci beaucoup Asinus !

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 24 décembre 2011 16:44

    Bonjour,

    La pièce est de 20 roubles Biélorusses, ce qui à l’heure actuelle ne vaut plus rien (elle a été frappée en 2005 et depuis la dévaluation de la monnaie locale a suivi son cours, à ce jour 1 euro est égal à 11 000 roubles grosso modo).
    Concernant le revers de la pièce, vous pouvez vous rendre sur le site de numismatique suivant : http://cis-coins.com/coins-catalog/belarus/5031-belarus-2005-1-ruble-vseslav-of-polotsk-proof-like

    Le site de la banque nationale du Bélarus ne répertorie plus hélas les anciennes monnaies frappées.

    Le nom en cyrillique ne provient pas du russe mais du biélorusse (proche de l’ukrainien), et s’écrit Усяслаў effectivement, et Всеслав en russe, ce qui revient à Vseslav en notre langue. 

    Cordialement

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