à l’auteur :
Mais au fond, vous voulez dire quoi ?
Que l’administration Bush a manipulé l’opinion en utilisant le 9/11 ?
Que les Etats-Unis sont devenus manichéens ce jour-là (comme si ça datait seulement du 11 septembre !) ?
Que les dirigeants du monde mettent la rhétorique au service de leur propagande ? Ca non plus n’est pas nouveau...
Je passe sur la « dimension phallique de ces attentats », et « la propension masquée de l’orateur aux défauts qu’il récuse » qui me semblent plutôt capillo-tractées (et pour le moins simplistes).
Je crains que ce qu’il reste de votre propos ne soit que l’amalgame grossier 9/11-Bush-serrement de main de Sarkozy (Dieu sait que je n’ai pas de sympathie pour NS, et encore moins sur cette poignée de main) qui laissent penser qu’il y a continuité de pensée de GW à Nicolas...
Hé, faut pas pousser grand-mère dans les orties, quand même.
Et franchement, je vois pas non plus ce que la crise oedipienne et la démocratie naissante (?) viennent faire là-dedans.
A part le fait que vous n’avez pas confiance en N. Sarkozy (moi non plus) quoi d’autre ?