Le baril de gaz à effet de serre liquéfié à 117 dollars, voilà la seule contrainte que l’économie comprenne. Le reste doit être traité par la politique.
Que le protocole de Kyoto soit améliorable, surement. Que les puits de carbone soit une escroquerie, probable. Que le marché du carbone soit une connerie, sans doute.
Que même avec un euro = 1.6 dollar, les grosses bagnoles américaines ne se vendent pas ... voilà de l’argument !