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Commentaire de C BARRATIER

sur Karachi, l'affaire qui rend fou Sarkozy


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 C BARRATIER C BARRATIER 24 novembre 2010 09:37

Ceux qui ont choisi SARKO comme président avaient tous les éléments pour savoir qui ils prenaient, comme ce fut le cas pour les italiens avec Berslusconni.
La haine de la République sociale de l’égalité, la haine des syndicats de salariés (mais l’admiration devant les syndicats de patrons, MEDEF et FNSEA), voilà pour les chefs d’orchestre de nos élections qui ont la grande intelligence des prédateurs, et savent précisément se faire soutenir par leurs victimes, des moutons plutôt idiots. En appoint et en embuscade les catholiques intégristes, minoritaires, qui n’ont pas digéré la démocratie, et qui jouent sur l’opinion le moment venu. Les élections commencent encore parfois au confessionnal. Là aussi quelques moutons catholiques qui ont suivi mais ne voulaient pas une telle régression sociale...et qui regrettent.
SARKO certes est quelque part infirme, mais il est entre les mains de gens qui l’ont mis au pouvoir et l’encadrent. Quand il sort de ses gonds, il pose le masque. Je ne voudrais pas être lui, c’est quand même un pauvre type qui n’a pas surmonté un héritage difficile : une prétendue noblesse hongroise...qui n’a pas le brillant de ses frères. Ses tics sont des compensations à un mal être permanent. En même temps, il en est dangereux.
Ce qui me frappe c’est que ce soit MILLON qui ait relancé l’affaire. Un intégriste cathlolique condamné pour prise personnelle d’intérêt, un profiteur, un frère de SARKO, donc, porté par les mêmes rapaces MEDEF/FNSEA/VATICAN/ et aussi Etats Unis qui jouent un rôle de plus en plus important dans l’arrivée au pouvoir de nos politiques en Europe.
MILLON veut peut être sa place ou bien se prépare à un poste important avec une Marine LEPEN par exemple.

http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=170

Je crois la République en danger et je pense nécessaire de combattre les forces qui portent SARKO autant que lui. Inutile de le remplacer par une autre copie conforme de réactionnaire nostalgique des époques sans démocratie.


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