« Un grand remplacement signifierait que les français
« d’origine », partent, fuient, disparaissent de gré ou de force, ce
n’est pas le cas. »
Faux !
Certes, le mouvement ne se développe pas à
l’échelle nationale, mais il affecte des portions de territoire, toujours plus
nombreuses, toujours plus étendues. Seule l’absence de statistiques ethniques permet
d’occulter cette réalité. Mais en glanant des informations, ici ou là, on
parvient à illustrer le phénomène.
Le cas de Mulhouse est emblématique, mais
il est probable que des observations identiques pourraient être faites dans des
villes nordistes, comme Roubaix, dans les banlieues parisienne et lyonnaise, ou
dans certains arrondissements de Marseille.
Mulhouse d’abord : Dans les « Dernières nouvelles d’Alsace » du 26 février 2011* , la députée
UMP Arlette Grosskost, réclamait l’extension du Condordat à l’Islam, en se prévalant du fait que Mulhouse compte près
de 60 % de musulmans. Or, cela correspond à quelque 60’000 personnes dans une
ville n’ayant augmenté que de 1500 habitants depuis 1962 ! Ce qui signifie que
40’000 à 50’000 non musulmans ont quitté la deuxième ville d’Alsace en une
cinquantaine d’années.
A Roubaix,
où il y a également une majorité de musulmans - certains ont parlé de 80 %,
mais le chiffre a été contesté -, la population a… diminué de 16’000 habitants
depuis 1954.
En avril
2012, invité de J.-J. Bourdin, sur BFMtv, Thierry Mariani, député UMP, affirmait
qu’à Valréas, la ville où il a grandi, les Marocains représentaient désormais
le quart des habitants, soit 2500 personnes, ce qui correspond, grosso modo,
à l’augmentation de la population au cours des 50 dernières années. Si l’on y
ajoute les immigrés et issus de l’immigration en provenance d’autres pays du
tiers monde, on constate, sans solliciter les faits, que la « France profonde »
n’est déjà plus à l’abri du Grand Remplacement en cours.
« Le
fondement du grand remplacement est donc basé sur des critères racialistes
comme le soutient fort justement Gaëtan Dussausaye. »
Faux !
Le fondement du Grand Remplacement repose très largement, sur des critères
alterethniques, alterculturels et altercivilisationnels. Les « Blancs »
s’en vont – white flight, comme
disent les Américains – parce qu’il y a incompatibilité de mœurs, d’us, de coutumes et d’habitudes, tandis que les nouveaux venus n’aspirent pas forcément à se mélanger.
Si j’étais musulman, même modérément pratiquant, je ne me verrais pas fréquentant
des gens qui acceptent qu’on marie des hommes entre eux, dont les filles
s’habillent comme des putes à 12 ans et couchent à 14, qui, de la naissance à
l’enterrement transforment tout en occasions de boire de l’alcool, qui mangent
des aliments impurs et qui font dormir leur chien dans leur lit**.
« Le
communautarisme se nourrit d’une nation sans repères et qui se meurt. »
Faux !
Le communautarisme se nourrit de la (fameuse) diversité, lorsque les groupes
de « divers » deviennent suffisamment étoffés, pour constituer une
sphère sociale autonome.
"Que chaque
Français puisse trouver sa place dans la société et se mettre au service du
bien commun ; qu’au-delà de ce qui le caractérise (sa sexualité, sa
religion, son origine), il soit fier d’être Français."
Ce qui une façon de souhaiter la réactivation du « Nos ancêtres les Gaulois » du temps des colonies, et qui
faisait encore rire, il n’y a pas si longtemps. Je ne suis pas sûr que ceux à
qui vous le proposez soient prêts à le réendosser…
* « Il ne faut
pas se voiler la face, l’islam est la deuxième religion de France, on ne
reviendra pas en arrière. Selon les statistiques officieuses, il y a près de
60% de musulmans à Mulhouse. Or, depuis 20 ans, rien ne change en France. Il
faut avoir le courage d’assumer et d’adapter le régime concordataire à l’islam,
voire de le transposer au pays entier. » - Arlette Grosskost.
** Allah a décrété, par la bouche de Mahomet, que la bave du chien est impur, pour ceux qui l’ignoreraient. C’est, par exemple, la raison pour laquelle les chauffeurs de taxi musulmans refusent d’embarquer les aveugles accompagnés de leur chien.