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Commentaire de orianeborja

sur Marion Maréchal Le Pen, la première collabo anti-France de France


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orianeborja orianeborja 17 juillet 2015 21:47

@tintin

Ne vous lancez pas dans ce qui vous dépasse, vous y laisseriez des dents ...

ER était une émanation du Front, une coquille pour faire râteau, c’était sous contrôle lepéniste, l’idée de rassembler tous les Français quelles que soient leurs origines, était la bonne et conforme à notre idée française d’unité nationale (c’est dans ce cas-là que l’on y met une majuscule à Français« , vous auriez eu un demi-point en moins à une dictée de brevet pour avoir écrit  »parler le -F-rançais avec une majuscule parce que grammaticalement, on dirait que vous parlez des hommes de nationalité française. 


En français, il eut fallu écrire : « Apprenez à parler français correctement »).


Sur le fond, quand aujourd’hui, on parle de « grand remplacement » à une vraie frontiste ayant étudié les civilisations et nos institutions à l’université, cela a de quoi faire bondir.

C’est la France qui fait le Français.

Vous auriez eu un autre demi-point en moins pour ne pas avoir mis de majuscule à « La plupart ».

De même, on ne dit pas : « Je pensais que cadre au FN c’était à la portée de n’importe ».


Bon, vous avez oublier le « qui », cela arrive, on ne vous en tiendra pas grief.

On dit : « Je pensais que cadre au FN était à la portée de n’importe qui », votre « c’ » vient doubler le sujet, ce qui est grammaticalement tout à fait incorrecte.

Là, selon le barème du BN, il aurait fallu ôter un point si la faute avait été commise dans un devoir de français de Troisième.

Plus un autre demi-point perdu à la fin car le fait qu’une phrase commence par une majuscule et termine par un point est du niveau Mat Sup (Maternelle Supérieure).

Je fais naturellement scrupuleusement attention à l’emploi de mes termes (avec lesquels j’ai suffisamment d’aisance pour les employer à propos), et donc à la sémantique.


J’ai un vocabulaire nettement plus riche de la moyenne supérieure même si parfois, ceux qui en ont une méconnaissance profonde, viennent de façon très ironique me faire la leçon.

C’est même assez récurrent. 

Enfin, je ne connais ni d’amertume, ni de vengeance, je n’écris que sous l’élan de la colère, qui est une saine réaction devant la malhonnêteté, le mensonge, la manipulation, l’opportunisme, la perfidie, la vénalité, la bêtise et autres qualités tout aussi peu enviables.

Pour cela, la raison armée de la plume sont redoutables, et je sais faire mouche souvent.

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