@jjwaDal
@jjwaDal
J’en ai entendu parler de ce sondage où il est dit que 25% des syriens pensent
que l’EILL a une influence positive sur le conflit. ORB a fait comment pour
sonder les syriens ? du porte à porte ? par téléphone. ?
La façon dont Bachar a géré l’avant et après « printemps
de Damas » en 2000 devrait suffire à vous convaincre de la fourberie de ce
tyran, car s’en est un. Et si ça ne suffit pas, je ne pense pas qu’un président
qui fait bombarder les positions rebelles à coup de thermobariques (fournis par
les russes vu que c’est les seul a en fabriquer) sans se soucier des civils
syriens (son peuple) qu’il y a en dessous, soit qualifié d’humaniste.
Est-ce qu’il faut aussi que je développe la
façon dont travail les membres du MOUKHABARAT dans leur pays ou à l’étranger
où sous couvert d’un passeport diplomatique ne se gênent pas pour « neutraliser »
les opposants au régime de Bachar ?
Depuis que Bachar est au pouvoir, le pays se
replie sur lui-même et subi une grave crise économique. Les syriens (même les
fonctionnaires) sont obligés de cumuler 2 à 3 emplois pour survivre. La révolte
du printemps arabe n’a été qu’un déclencheur et le chaos qui s’en suit à
convaincu une grande partie de la population à fuir ce pays sans avenir.
Résultat des courses pour que le conflit se
cantonne à la Syrie et ne s’étende pas au Caucase (qui serait dommageable pour
les russes), on a le choix entre la peste Bachar ou le choléra EILL.
Si on veut avoir une position pragmatique, la
communauté internationale va négocier avec Bachar pour le coller dans une ville
au bord de la méditerranée avec son gouvernement de pacotille et sa république
bananière et va soit essayer de remettre le pays en marche avec ce qui reste de
l’administration syrienne, soit cantonner EILL en Syrie et laisser faire leurs trafics
(d’humains de drogue, d’armes) pour le malheur des syriens qui n’ont pas pu
partir.
Maintenant c’est à vous que je m’adresse :
soit vous êtes aveuglé par votre idéal et vous ne savez plus voir la réalité,
soit vous êtes téléguidé par je ne sais qui, mais dans les deux cas vous n’êtes
pas crédible