@Alain
oui, je maintiens, le coup du « nuage de Tchernobyl », c’était de la propagande hystérique des média. Il y a eu un panache qui a suivi les courants aériens. Comme tout panache, il s’est dilué et une partie a pénétré en France, mais sans commune mesure avec ce qu’on dit les journalistes et pas au point de cracher sur la tombe du professeur Pellerin.
Il n’y a pas de climato-sceptique et il ne peut pas y en avoir, au sens scientifique (pardonnez ce gros mot), puis qu ’aucun modèle actuel n’est capable de faire des prédictions crédibles, contrairement à ce qu’affirment les gangsters du GIEC.
Ceux que, avec votre haine d’excité, vous appelez les climato-sceptiques, sont simplement des gens qui rappellent ce fait.
C’est quand même curieux, vous maudissez la science et les scientifiques mais, quand ça vous arrange, vous faites appel à la haute autorité scientifique du GIEC.
Rendez nous service : si vous avez connaissance d’un seul rapport contenant un seul calcul crédible du GIEC, faites le savoir !
Vous allez dire : pas besoin de calcul, il suffit de regarder dehors. Et bien, justement, je me souviens de mon enfance. Il y avait des étés bien plus chauds que maintenant. Et même il y a trente ans. Je me souviens de vraies canicules. Au point que je me demande si nos braves journaleux n’en font pas un peu trop.
Une chose est certaine : la température moyenne de la terre est plate depuis maintenant plus de quinze ans, ce qui est très significatif à l’échelle du climat et laisse présager une décroissance vers un minimum aux environs de 2030, prévu par Zakharova. Les journaleux n’en parlent pas, bien sûr.