Vous n’avez pas évoqué LA solution, à savoir les centrales à énergie musculaire humaine, à savoir des pédaliers sur des vélos fixes (comme ceux des salles de sport pour bobos stressés), couplés à de bonnes démultiplications, et quelques centaines de milliers de migrants/déserteurs qui donc pédalent ! (je me demande si mémère Angela n’y a pas pensé, pour compenser son abandon des centrales nuke)
L’avantage du migrant, c’est qu’on ne le paie pas cher, et surtout s’il est bien encadré par de bons contremaîtres, avec des moyens simples de coercition ( une longue lanière de cuir au bout d’un manche, c’est simple, pas cher et ça a fait ses preuves), il fermera sa gueule ou choisira de fuir encore, vers d’autres cieux plus cléments !
Pour le logement, quelques campements de mobil-home d’occas’ autour des centrales à pédales, avec le minimum de confort, et ça roule !
Prévoir aussi d’embaucher des vigiles, pou maintenir l’ordre !
Par cette solution simple, vous :
1/ Permettez aux déserteurs de se rendre utile, pour un salaire modeste certes, mais souvent bien supérieur à ce qu’ils touchaient dans leurs contrées d’origine.
2/ Vous dissuadez trop de ces gens à venir, car je ne pense pas qu’ils apprécieront ce genre de boulot !
3/ Vous relancez l’emploi : engagement de contremaîtres (prévoir un contremaître pour 4 pédaleurs) et des vigiles : sans parler des artisans qui installeront et feront la maintenance des clôtures.
4/ vous relancez un artisanat local (nous avons des bovins, donc du cuir), celui de la fabrique de fouet.
5/ Pas d’émission de carbone, à part bien entendu la respiration des pédaleurs, mais...
6/ en reboisant beaucoup autour de ces nouvelles centrales d’avenir, les plantes utiliseront ce CO2 pour leur développement.
<Mode déconne OFF >........quoi que........
Adishatz
H/