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Commentaire de Julie

sur Pervers narcissique : mythe ou réalité ? Point de vue critique (partie 1/2)


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Julie 7 juillet 2017 14:49

Disons qu’en systémie.

Si on veut provoquer du changement.
On considère que les étiquettes ne servent à rien.

Ou plutôt qu’elles bloquent le changement.

Même si c’est une torture pour la victime.
Qui se retrouve en position d’accusée.
La victime est au banc des accusés !

Pas par le systémicien.
Mais il laisse faire.
Il faut le savoir.

Elle doit continuellement se justifier.

Tout le travail consiste à mettre en lumière les paradoxes, les ’noeuds’.
Tout ce qui coince. Tout ce qui bloque. La victime est obligée de les formuler.

Je m’en suis sortie qu’en dénonçant les paradoxes.
Tant que le thérapeute ne tient pas un beau paradoxe, à opposer à l’accusateur de la victime, il ne lâchera pas la victime.

En gros.


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