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Commentaire de eric

sur Le paradoxe de la caissière


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eric 1er janvier 2020 13:30

Alors avant, c’était les B.O.F., les petits commerçant, CIDUNATI, poujadistes populistes. Vous savez, ces voleurs, qui achètent moins cher pour vendre plus cher. A coup de taxes, de normes, d’impôts locaux d’interdiction de terrasses chauffées, la caste bureaucratique progressiste en est à peu prêt venu à bout. Restaus en réseau et grandes surfaces, cela marche aussi parceque tu peux te payer juristes et fiscalistes pour passer entre les mailles. Après avoir tué les petits commerces, les mêmes nous parlent du lien social et du vivre ensemble à la caisse des supermarché..... Mais ce n’était pas cela le vrai plus social des grandes surface. Leur développement fût parallèle à celui des grands progrès sociétaux. Libération sexuelle divorce garde des enfants aux femmes. La polygamie étalée dans le temps au profits du mâle blanc progressiste et féministe. Les places de caissières assuraient un complément de revenu à leurs compagnes plaquées ( en pratique, même si formellement, c’est elles qui demandaient le divorce). Complément, parcequ’ à ces niveau de revenu, les transferts monétaires et non monétaires doublent le niveau de vie. La catégorie mère célibataire, caissière en supermarché, est une des plus pauvres et des plus aidées. Les progressistes ont un cœur, et n’hésitent pas à faire financer les pots cassés de leur libération sexuelle par l’argent public. En tendance, à CSP, comparable il y a moins de divorces chez les cargos tradis que chez les ingénieurs trotskistes. Les militants progressistes le savent peu. Pour militer, il faut du temps, donc être fonctionnaire. C’est un métier endogamique. Les divorces sont moins risqués. Il y a la sécurité de l’emploi. C’est la classe moyenne de gauche qui a trinqué. Cadre moyen 2 ou trois enfants dans le privé, qui a crût aux promesses. C’est de cela qu’on parle quand on dit que les masses populaires on quitté la gauche. En effet, historiquement, hors ceux de la fonction publique, les ouvriers ne votent pas.

C’est un vrai grand enjeux politique. Super aidées, les mères célibataires caissières votaient « bien ». C’était du temps ou les violeurs féministes du PS ou des verts, faisaient semblant de s’intéresser à leur sort. Avec la variante Macron, elles sont passé gilets jaune. De la à ce que la féminisation de l’électorat Le Peniste, permette de crever le plafond de verre... Aujourd’hui, Macron doit subventionner Carrefour et Leclerc, pour maintenir l’emploi. Mais comme ses congénères progressistes, il considère ces femmes comme des analphabètes, tabagiques, alcolo. C’est bien un gosse et petit enfant de socialiste. Les sales gamins qui répètent à haute voix, ce que leurs parents gloussent à voix basse quand ils sont entre eux.. les sans dents, vous vous souvenez ? Faire du Zola sur les caissières ne serait convenable que pour un homme de Droite. La disparition des postes peu qualifiés en France est lié à des niveaux de prélèvement insupportables. L’auteur va t il défendre des politiques façon Trump ou Schoeder ? Celles qui ont sauvé et même multiplié ces emplois ? J’en doute..... C’est vous qui les mettez à la rue, pas les sur profits des boites françaises, ou les ISF, qui payent sur des plus-values immobilières virtuelles.


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