@sylvain
il y a en effet plusieurs incohérences, ainsi on lit à de nombreuses reprises dans l’article que les négociateurs ukrainiens n’avaient pas confiance dans la Russie, mais à un autre endroit il est indiqué que l’une des raisons qui ont amené les Ukrainiens à ne pas signer est que ..’’les Russes n’avaient aucune confiance dans le respect des accords’’
[sic]. Problème de traduction ?
Idem concernant Boris Johnson : je cite : ’’Dans le même temps, Arakhamiia a nié que la délégation ukrainienne
soit prête à signer un tel document et que Johnson ait forcé la main de
Kiev. Selon Arakhamiia, la délégation n’avait même pas le droit légal de
signer quoi que ce soit (*) – cela ne pourrait théoriquement se produire
que lors d’une réunion entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine.
Arakhamiia a ajouté que les partenaires occidentaux étaient au courant
des négociations et avaient vu des projets de documents, mais n’ont pas
tenté de prendre une décision pour l’Ukraine, mais ont plutôt donné des
conseils.
(*) à propos d’un accord signé qui aurait été montré par Vladimir Poutine à des délégués africains, cela ne pouvait pas être le cas puisque la délégation n’était pas mandatée pour le faire, par ailleurs Arakhamiia
a dit explicitement ’’S’il avait un tel document, il l’aurait rendu public’’
Il apparait donc que l’article comporte sa propre réfutation
PS : Vous écrivez ’’il me semble douteux que les russes aient proposé de rendre le Donbass ou la Crimée’’
Il n’est pas question de cela dans l’article, mais des territoires occupés postérieurement au 24 Février