Allons-nous nous faire avoir une nouvelle fois par
un tandem de supercheries, les deux
spéculant habillement sur notre abstention massive. L’une ayant servi deux fois
d’épouvantail à celle actuellement au pouvoir afin qu’elle puisse se maintenir de justesse
électoralement en saturant ensemble, grâce à la puissance médiatique des
oligarques de l’information, l’espace
politique de rentes électorales spéciales campagnes. Qu’elles sont bien contentes
de pouvoir ressortir à chaque fois. Où sont les solutions promises et
surtout les analyses en profondeur ? Afin de se dérober au débat public de fond,
inéluctable sur la démocratie. Ses fonctionnements et notre place de citoyens,
la nature du pouvoir politique pilote et arbitre au service de l’intérêt
général ou au service du pouvoir économique et de ceux qui le contrôlent, la
prise en compte responsable de la dimension écologique mise elle aussi au
service de l’intérêt général.
Allons-nous en reprendre pour cinq ans à devoir faire encore
une fois le constat de notre impuissance, de l’incompétence et de l’abandon des
promesses faites parce que nous n’avons pas voulu voir leur artificialité et démagogie.
Notre impuissance issue de notre désœuvrement, négligence et erreur quand nous
ne voyons pas que ceux qui soutiennent le pouvoir ou son pseudo adversaire
votent eux à chaque fois et s’imposent
tout en étant une minorité servis par des
types de scrutins électoraux dépassés. Notre impuissance issue de notre naïveté de ne pas voir quels intérêts
sont réellement servis par les uns et les autres qui votent en réalité souvent
ensemble contre nos intérêts, impuissance issue de notre naïveté de ne pas voir
et comprendre la manœuvre répétitive qui consiste à nous conduire à devoir
choisir entre deux pseudo-adversaires soutenus au gré des circonstances par les
mêmes oligarques qui ont besoin d’agiter
tantôt l’épouvantail et tantôt d’en faire
une roue de secours.