@Attilax
Je crois au contraire qu’on peut réapprendre le bonheur de l’utilisation plus abondante de l’huile de coude, mais il faut que celle-ci soit mieux partagée que naguère.
Plus question de trimer pour les riches qui devront s’y mettre aussi !
Notre santé dépend de l’énergie que nous dépensons dans les gestes que nous savons faire pour ne pas nous blesser ; toute cette énergie perdue, qui s’accumule dans la graisse, et nous rend malade, suffira à compenser le manque progressif des énergies que nous utilisons.
C’est le premier acte de la décroissance. Le deuxième est celui d’une moindre consommation, qui commence par l’arrêt du gaspillage et se continue avec une frugalité plus grande ; celle-ci nous garde en bonne santé, ce qui réduit les dépenses chimiques pour la « santé ». La troisième est une plus grande sédentarité induite par ce temps à utiliser notre propre énergie, la sédentarité est, à elle seule, une grande économie d’énergie.
...