Bonsoir, ETTORE
Des constats que malheureusement l’on peut faire en de trop nombreux lieux du territoire.
« Il était une fois, un éleveur, paysan, agriculteur, qu’on pouvait qualifier de « jardinier de la nature », désormais, ils se gavent de « primes et de subventions de tous côtés » »
Et encore, tous ceux qui gèrent certains espaces concentrationnaires de poulets — les seules personnes visible sur site — ne sont que des sortes d’esclaves payés chichement par un exploitant qui vit en ville, bien loin de l’odeur des fientes et des cadavres de volailles mortes de stress. Pas plus que leurs patrons, ces pauvres gens ne sont des paysans.