Bonjour, Yann Esteveny
« Amélie Oudéa-Castéra défend « la liberté d’un artiste » »
Ce qui démontre qu’elle n’est pas à une connerie près.
Car ce n’est pas l’artiste qui est en cause, mais ceux qui lui ont commandé ce travail immonde et l’ont accepté.
Or, l’affiche d’un évènement doit permettre d’identifier instantanément cet évènement, ce qui n’est pas le cas avec ce que j’ai qualifié sur un autre article de « capharnaüm pisseux ».