Des médias officiels en propagande pour Sarko et ses réformes, des informations « oubliées », filtrées, déformées, censurées, dirigées, la crédibilité du journaliste « institutionnalisé » s’effiloche à une vitesse proportionnelle à son allégeance au pouvoir, dénoncée par les nouveaux médias citoyens ou indépendants, seuls capables d’une critique neutre et libre. D’où les tentatives de déstabilisation et de marginalisation qui ne font que prouver, une fois de plus, leur désir de conserver un monopole déjà bien affaibli...