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Henri Masson 9 juin 2008 17:00

Krokodilo, tu as dû sacrément l’énerver en écrivant ça puisqu’il en a perdu son français ! smiley

 
Lesquelles ? "certaines " c’est un peu vague...

Certains intervenant ici sont des cons...

Celui qui a écrit ça doit se reconnaître smiley

Certains intevenant ici sont injurieux...

Idem, et même grossiers, porcins smiley

Certaines bêtises ne devraient jamais être publiées...

Enfin quelque chose de sensé ! Tout à fait d’accord ! Et la secte aspique en connaît un rayon en matière de franchissment du mur du çon (orthographe favorite du "Canard Enchaîné" smiley

Apparemment pour vous, dès qu’on a tors, on est un "menteur". Hé bien même en tenant compte de cette définition fort éloignée de la réalité

(un menteur c’est quelqu’un qui, sciemment, ne dit pas la vérité ; exemple : "il y a deux millions d’espérantistes) ,
(manque les guillemets de fermeture)

vous ne parviendrez pas à me convaincre que j’en suis un en sortant des exemples aussi vagues. D’ailleurs, il peut y avoir des centaines de bonnes raisons au refus des académies, à commencer par "on n’a pas de profs/ d’argent/ etc."

Typhon ; certains ici feraient bien d’apprendre le français avant de pontifier sur la francophonie...

Oh que oui ! ! smiley

En dehors des insultes, des grossièretés et des "TA GUEULE MASSON !", la commère de la secte aspique s’accroche bien à n’importe quoi, y compris à la plume de son maître à penser Asp Explorer qui se la met là où tout être civilisé devrait déjà le savoir, jamais au-dessus de la ceinture.

Eh bien ce cher Alain, auquel il s’accroche, avait écrit quatre ans plus tôt, le 5 septembre 1906, dans ses "Propos" : "Apprendre le français, cela n’est point facile. Il ne m’arrive pas une fois sur dix de dire exactement ce que je veux dire."
http://citationsphilo.blogspot.com/2008/02/quil-est-difficile-de-matriser-une.html

Et c’est bien ce qu’il a démontré là.

Estimable à bien des égards, Alain a été excellent chaque fois qu’il a parlé de ce qu’il connaissait. Or, il ne s’est fait une idée sur l’espéranto que sur la base du ouï-dire, pas sur celle d’une recherche et d’une comparaison personnelles. Et c’est le même cheminement pseudo-scientifique qu’a choisi Asp "Explorer".

Quand je suis venu à l’espéranto, par moi-même, c’était par curiosité et en sachant déjà ce qu’était l’anglais. À 17 ans, faute de savoir réellement ce qu’était l’espéranto (je ne le connaissais à peine plus que par le nom, j’avais déjà vu des textes en espéranto dès l’âge de 8-9 ans), j’étais à fond pour l’anglais et je pensais qu’il n’existait rien d’autre pour communiquer à travers le monde. À 27 ans, l’étude de l’espéranto m’a permis de découvrir qu’une alternative était possible et qu’on ne nous donnait pas le choix. Ce choix n’existe réellement aujourd’hui que dans le pays d’origine de Sarko. On n’a pas eu de là-bas ce qu’il y avait de meilleur smiley

Alain écrivait en 1910 : "Il y a donc encore des espérantistes ?".

Eh bien oui, et de plus en plus, et dans des pays de plus en plus nombreux. Et Alain est sans l’ombre d’un doute moins connu que l’espéranto en dehors de l’hexagone. S’il s’était abstenu d’écrire de telles âneries, il aurait mérité d’être traduit dans cette langue et d’être porté à la connaissance du monde, en particulier par ses écrits pacifistes. Romain Rolland fut à cet égard plus intelligent.

Bon, ça y est, ça va encore déclencher une crise d’hystérie smiley

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