J’ai été surpris, en lisant cet
article, de ne pas y rencontrer Paul
Lafargue :
« Pour qu’il parvienne à la
conscience de sa force, il faut que le prolétariat foule aux pieds
les préjugés de la morale chrétienne, économique, libre penseuse
; il faut qu’il retourne à ses instincts naturels, qu’il
proclame les Droits de la Paresse, mille et mille fois plus
sacrés que les phtisiques Droits de l’Homme concoctés par
les avocats métaphysiques de la révolution bourgeoise ; qu’il se
contraigne à ne travailler que trois heures par jour, à fainéanter
et bombancer le reste de la journée et de la nuit. »