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Arnould Accya

Arnould Accya

Nous sommes de passage. Alors levons la tête, ouvrons les yeux, et allons chercher un pré où l'herbe est bien verte, fraîche et tendre à souhait.
Ce serait dommage de se laisser brider, brimer, puis tondre sans réagir ; sans s'exprimer, l'esprit libéré.

Tableau de bord

  • Premier article le 09/12/2016
  • Modérateur depuis le 09/04/2018
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Derniers commentaires



  • Arnould Accya Arnould Accya 14 décembre 2016 22:08

    @Vipère
    C’est sûr que si on prend tout au premier degré, on ne voit pas.
    Ou alors on n’a pas le même humour. C’est pas un souci.



  • Arnould Accya Arnould Accya 14 décembre 2016 20:58

    @manu
    C’est un exercice très différent, mais oui, ça peut aussi être très intéressant.



  • Arnould Accya Arnould Accya 14 décembre 2016 20:57

    @alinea
    « Si l’on quête un prix ou une distinction, c’est sûrement que ce que l’on avait à dire n’était pas très intéressant »

    Quel rapport ?
    On écrit pour exprimer des idées, des sentiments, des impressions que l’on souhaite partager, non ?
    C’est du moins ce qui me motive, personnellement. 
    Et participer à des prix permet de faire connaître son livre. Aussi simple que cela.



  • Arnould Accya Arnould Accya 14 décembre 2016 20:03

    @alinea
    En ce qui me concerne, écrire n’est pas une épreuve (solitude, page blanche, ou corrections incessantes et pages déchirées). Long, prenant, fatigant mais passionnant de voir son travail prendre forme progresivement.
    Ce que j’ai cherché à exprimer, dans cet article, c’est le désarroi des « jeunes » auteurs et petits éditeurs qui doivent se résigner : les critiques littéraires ne liront pas leurs ouvrages. C’est aussi simple que cela. Pas le temps. Trop de livres.
    Et, par conséquent, impossible de concourir à un quelconque prix littéraire. Frustrant.
    Dur de se faire une raison.



  • Arnould Accya Arnould Accya 14 décembre 2016 15:40

    @sleeping-zombie

    Comme le texte est long, effectivement, j’ai essayé de glisser pas mal d’ironie, et quand je me moque allègrement de l’auteur gonflé à bloc et bien naïf , j’en rajoute pas mal, histoire d’accentuer le côté humoristique de la situation.
    Donc, je ne vois pas bien pour le « narcissique ».
    Pour la sujétion, c’est comme ça, on n’y peut rien, donc rien à assumer en particulier, juste un constat.
    En fait, un des objectifs du récit est de faire comprendre qu’être auteur d’un livre édité par un « bon » éditeur est, à peine, dans la montée hypothétique au succès, une marche au-dessus de l’auteur qui ne trouve pas d’éditeur.
    Et vous avez parfaitement raison, ce n’est pas par l’écriture qu’on arrive à gagner sa croûte.
    C’est bien pour cela qu’à la question « Tu fais quoi dans la vie », je ne réponds jamais « Je suis écrivain ».
    Parce que l’écrivain gagne réellement sa vie grâce à ses livres, et ils sont assez rares, les vrais écrivains, de fait.

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