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Carlo Revelli

Carlo Revelli


Président de la Fondation AgoraVox, je suis également le fondateur de la société Cybion que j'ai créée en 1996 avec Joël de Rosnay après avoir travaillé quelques années dans l'univers des études de marché et des sondages (Sofres et Ifop). Je suis né en 1969 à Rome. 
Après un baccalauréat économique au Lycée Chateaubriand de Rome (1987), je suis diplômé en 1991 en sciences économiques auprès de l'Université de Rome "La Sapienza" avec le professeur Mario Baldassarri. En 2007, je suis devenu docteur en sciences de l'information à l'Université Paris X avec le professeur Jacques Perriault. Titre de la thèse : "Comment exploiter l'intelligence d'Internet : de l'intelligence économique à l'intelligence individuelle".

J'ai écrit en 1998 chez Dunod "Intelligence Stratégique sur Internet" (extraits) et j'ai créé à la même époque la première communauté virtuelle française de l'intelligence économique sur Internet, Veille.com ainsi que le premier portail sur les agents intelligents et les créatures virtuelles (Agentland). J'ai également écrit quelques articles, participé à plusieurs conférences et donné différentes interviews sur ces sujets.

Après plusieurs mois de réflexion, j'ai lancé AgoraVox en mai 2005. AgoraVox est un projet qui s'est développé rapidement. Quand il me reste un peu de temps libre, j'essaye d'y publier quelques articles axés surtout autour des questions de désinformation, mésinformation et de propagation de rumeurs. J'ai aussi participé au lancement d'AgoraVox.com, AgoraVox TV, NaturaVox et d'AgoraVox Italie.
J'ai également collaboré avec Joël de Rosnay à la rédaction de l'ouvrage "La Révolte du Pronétariat" (Fayard, 2006) qui est enfin disponible gratuitement en ligne au format électronique. J'ai aussi coordonné et participé à l'ouvrage collectif "Présidentielle 2007 : l'irruption des internautes dans la campagne" (Le Manuscrit, 2007).
Pour ceux qui utilisent les réseaux sociaux : Linkedin - FaceBook - Twitter

Tableau de bord

  • Premier article le 20/06/2005
  • Modérateur depuis le 28/03/2006
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 43 607 9153
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5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 325 219 106
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Carlo Revelli Carlo Revelli 11 mai 2006 15:33

    M. Adam,

    On va pas en discuter pendant des heures. Sur le fond votre intervention était justifiée. Vous avez signalé une erreur. Sur la forme, non. C’est vrai : vous avez traité l’article de con et nul et non pas l’auteur. Ca reste une attaque gratuite. Mais bon on va pas s’éterniser dessus.

    Au sujet des commentaires, rien n’est décidé. On est en train de tester avec certains rédacteurs différentes solutions. Mais en principe, rien ne vas changer au niveau du fil des discussions. En revanche, il se peut qu’on crée un nouvel espace dans la page pour faire apparaître les commentaires les plus appréciés par les lecteurs. Mais bon, c’est pas encore tranché. L’idée étant de mettre en valeur les commentaires les plus riches qui apportent une vraie réponse à l’article (en le validant ou en l’invalidant) et que les lecteurs apprécient. Ce sera surtout utile pour les articles qui cumulent plusieurs centaines de commentaires.



  • Carlo Revelli Carlo Revelli 11 mai 2006 15:02

    Monsieur Adam,

    1- Si tant est qu’un autre auteur vous ai vraiment traité de con à froid dans un de vos articles cela est fort regrettable mais est-ce réellement une raison pour faire de même ?

    2- Nous regardons scrupuleusement chaque abus qui nous est signalé. Et sur cet article on a eu nombreuses personnes choquées par la violence des propos exprimés.

    3- N’hésitez pas à signaler de abus vous aussi si vous êtes victimes d’injures ou d’attaques injustifiées dans vos articles. Jusqu’à preuve du contraire traiter de con ou se faire traiter de con a rarement fait avancer les choses sereinement.

    4- Je ne connais pas l’auteur de cet article et j’ai du mal à comprendre votre remarque sur les intervenants à protéger.



  • Carlo Revelli Carlo Revelli 11 mai 2006 14:47

    Personnellement c’est la première fois que je vois un auteur traiter un autre auteur de con et nul à froid en début de discussion. Mais il se peut que j’ai loupé des perles. Dans tous les cas, on va améliorer bientôt le système des commentaires pour faire remonter les commentaires que les lecteurs apprécient davantage.

    En ce qui concerne l’erreur et le rôle du comité de rédaction, je reprends ce qu’on dit dans la page de présentation d’AgoraVox :

    « Mais au-delà des vérifications effectuées par les rédacteurs et les veilleurs, AgoraVox prône un processus d’intelligence collective pour fiabiliser les informations mises en ligne. Ce processus se base sur les commentaires des lecteurs. Dés qu’un article est publié, tout lecteur peut intervenir librement pour le commenter, le critiquer, le compléter, l’enrichir ou le dénoncer. L’auteur et la rédaction peuvent interagir ainsi avec les lecteurs afin de compléter et améliorer l’article. Comme le dit le journaliste bloggeur Dan Gillmor, »mes lecteurs sont souvent mieux informés que moi".



  • Carlo Revelli Carlo Revelli 11 mai 2006 14:19

    Qu’un article contienne des imprécisions ou des erreurs ça arrive souvent. Le but des commentaires c’est justement de valider, invalider ou compléter un article. C’est le principe même d’AgoraVox.

    Je trouve inadmissible qu’un auteur traite un autre auteur de « NUL, CON et DANGEREUX » uniquement pour cette raison.

    J’ai donc supprimé tous les commentaires du fil en question.



  • Carlo Revelli Carlo Revelli 2 mai 2006 12:36

    S’il y a un économiste qui m’a véritablement impressionné pendant ma jeunesse, c’est bien John Kenneth Galbraith surtout pour son charisme et sa modestie même si je ne partage pas toutes ses positions. Dés les temps du lycée j’étais très intrigué par son idée de technostructure selon laquelle "les individus qui prennent effectivement les décisions des entreprises n’appartiennent plus à la classe des détenteurs de capitaux mais à une catégorie nouvelle, qui se distingue et s’impose par ses connaissances technologiques et organisationnelles". Il s’agit là d’un concept assez révolutionnaire pour le milieu des années... ’60 !

    Mais Galbraith m’a aussi marqué pour son incroyable gentillesse et disponibilité. En 1991, j’avais à peine 22 ans, je décide de lui écrire par fax directement à Harvard pour avoir des conseils sur mon mémoire de fin d’études. Avec mon grand étonnement, il me répond directement quelques jours plus tard. Nous échangeons un peu et puis j’apprends qu’il allait venir en Italie pour une conférence. C’était en Toscane. Je décide de prendre le train et de m’y rendre sans hésiter. Dans ma naïveté je pensais que j’aurais pu l’approcher facilement et discuter avec lui. C’était sans compter avec un horde de journalistes, photographes, industriels, cadres, étudiants et simple curieux comme moi.

    Impossible de l’approcher avant le début de la conférence. Et vu que de plus en plus de personnes affluaient, j’ai vite compris que je n’aurais aucune chance de l’approcher même à la fin.... Mais soudainement, pendant qu’un autre conférencier prend la parole je vois qu’il se lève, s’éloigne du parloir et se dirige vers les toilettes pour une petite pause... Je ne sais pas ce qui m’a pris mais après avoir attendu quelques secondes, je le suis et je rentre aussi dans les toilettes. Il est train de se laver les mains. Très embarrassé, je cafouille quelques phrases avec un anglais fort approximatif pour me présenter. Il a l’air de se souvenir de nos échanges par fax. J’en profite pour lui remettre un document avec une théorie farfelue que j’avais élaboré après avoir lu son roman « A tenured professor ». Il prend mon manuscrit, me remercie et me signe un autographe sur son livre que j’avais avec moi. Et puis nous sortons ensemble tous les deux des toilettes... Scène surréaliste que je n’oublierais jamais et qui a du le déstabiliser un peu... En effet, en signant le livre il se trompe d’un an (1990 au lieu de 1991)... smiley

    Pour lui rendre un petit hommage, grâce aux superbes nouvelles archives de l’INA j’ai pu découvrir un débat passionnant dans le cadre de la célèbre émission Apostrophe (Bernard Pivot) de 1982 entre Galbraith et Raymond Aron (cliquer sur la première vidéo, ensuite sur l’image à droite et attendre un peu... nécessite quicktime).

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