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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 avril 11:42

    @Jean Keim

    une pensé qui est seulement récurrente, itérative et récursive ne peut pas évoluer, elle reste figée dans un seul état ou échelle. Pour évoluer, votre pensé doit obligatoirement faire appel au principe de fractalisation, car lui seul permet l’évolution de la pensé. Ainsi, c’est en passant par exemple de l’enfant vers l’adulte que vous observez le mieux vos changement de pensé.

    La guerre est toujours le fait de la volonté de prédation, la violence de domination. les deux sont évidemment liés, mais la volonté de s’approprier le temps de vie d’autrui via son travail n’est pas une maladie, mais le propre de la nature d’être prédatrice. Le prédateur animal ne passe pas son temps à brouter l’herbe, il le laisse à l’herbivore et ne vient que pour prélever son impôt particulier pour se nourrir lui même.

    Ainsi, la où l’animal prédateur tue sa proie pour manger son temps de vie, l’humain prédateur trouve infiniment plus efficace d’exploiter sa proie et d’en extraire un profit particulier. Mais il lui faut une justification pour cela, car il le fait essentiellement vis à vis de ses propres congénères, mais ayant une nature d’être non prédatrice de la vie d’autrui. Ici ; seul le principe de fractalisation permet de saisir ce changement d’échelle et ses effets.

    Mais vous pouvez faire comme Francis et cie, dire que c’est un « pataques » ou du « blougiboula », mais cela ne change en rien la réalité des faits, qui veut que la justification de la prédation humaine repose sur la menace extérieure permanente contre laquelle les prédateurs sont naturellement les plus aptes, les « premiers de cordés ». Sauf que dans la situation actuelle il s’agit surtout de la corde du radeau de la Méduse, à couper !

    De fait, il n’y a pas de meilleure formule magique que celle de « la patrie en danger » pour envoyer se faire s’entretuer des millions d’humains qui n’y ont aucun intérêt, pour le profit d’une minorité prédatrice et d’ailleurs, Macron qui se dit européen a bien tenté de l’employer, sans véritable succès pour l’instant.



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 avril 11:09

    @Francis, agnotologue

    Je me contente de constater qu’à aucun moment vous portez la contradiction sur ce que j’écris, car vous n’avez pas de contre argument, seulement votre croyance dans l’idéal nationaliste et souverainiste alors même que toute l’histoire de l’humanité montre que cela a toujours entretenu la guerre et permis l’asservissement des peuples à une élite prédatrice. 

    Autrement dit, vous appliquez à vous même ce que vous me reprochez, c’est à dire

     « la croyance s’affranchit aisément du principe de non contradiction » et en fait, ne le supporte pas, voilà pourquoi vous ne supportez pas ce que j’écris, car cela porte une contradiction insupportable à votre croyance. Ce qui revient à dire que dans l’imaginaire, chacun est maître de la causalité, mais dans la réalité, il lui est soumis, de gré ou de force.

    Et oui, je suis le seul à ma connaissance à connaître le principe de causalité dans ses lois élémentaires fondamentales non biaisé. Mais j’écris bien « à ma connaissance » car je doute fort d’être le seul. Voilà pourquoi il est si facile de vous faire prendre des vessies pour des lanternes, donc, vous manipuler.

    Ainsi, tous les évènement actuels démontrent sans la moindre ambiguité la validité des relations « particulières » que j’observe, mais vous les niez car encore et toujours la croyance s’affranchit aisément du principe de causalité et ne supporte pas la contradiction.

    Bref, votre seul argument est celui de l’autorité que vous avez sur vous même, votre propre imaginaire et tant pis de la réalité.

     Sur ce, à mauvais entendeur, salut !



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 avril 09:03

    @Francis, agnotologue

    Vous répondez à Xenozoid

    Mais cette phrase est un truisme.
    Un truisme est une vérité banale, si évidente qu’elle ne mériterait pas d’être énoncée. Toute la question est de faire les bonnes relations entre les causes et les effets.

    C’est effectivement un truisme, une vérité évidente, sauf qu’elle n’a rien de banale puisque elle est le fondement de toute réalité, de toute logique, de toute science.

    Or, si votre connaissance du principe de causalité est en partie biaisée, vous ne pourrez jamais, sauf de manière fortuite, trouver les bonnes relations entre les causes et les effets. Vous serez facilement manipulable car vous ne saurez jamais faire la différence entre votre imaginaire et la réalité qui obéit strictement à la causalité, là où cette dernière vous obéit dans votre propre imaginaire. Ce truisme, cette évidence, cette banalité vous n’arrivez pas encore à la comprendre dans toutes ses conséquences phénoménologique.

    Ainsi, les scientifiques ne se rendent à l’évidence de la réalité face à l’imaginaire des théories qu’ils énoncent que face à la preuve de l’expérimentation. Sauf lorsqu’ils se trouvent face à ce qui leur apparaît comme une contradiction logique vis à vis de la causalité telle qu’ils la connaissent. Mais au lieu de considérer que c’est leur connaissance de la causalité qui est biaisée, il préfèrent croire que la réalité n’obéit pas à la causalité !



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 avril 08:43

    @Francis, agnotologue

    Mais ce n’est pas en ignorant ce que j’écris pour énoncer votre argument d’autorité que vous pouvez réfuter une argumentation, mais seulement en l’invalidant par une contre argumentation qui doit se fonder sur le principe de causalité dès l’instant où vous avez admis qu’il s’agit là d’un truisme, donc, sur quoi se fonde toute la réalité physique (pléonasme d’affirmation). La vérité ayant un sens différent, or, la causalité traite de la réalité physique.

    En vérité, qui est propre à chacun de nous de par l’intention de son action dans la réalité, vous ne pouvez pas vous défaire de l’idée maîtresse de la nation souveraine et n’ayant pas d’argument valide en dehors de votre passion pour cette idée, vous utilisez le seul argument qu’il vous reste, soit, votre propre autorité sur vous même en dépit de la causalité. Mais encore une fois, tout un chacun est maître de son propre imaginaire où la causalité lui obéit, mais pas dans la réalité, là, vous devez vous plier, vous soumettre à la causalité ou la subir de force. Faisant que vous vénérez une cause dont vous déplorez les conséquences. Tout ce qu’il se passe actuellement est strictement conforme à ce que j’écris au travers de mes articles et commentaires depuis que je suis sur agoravox pour tout ce qui suit la causalité (non en partie biaisée comme on vous l’a enseignée), sauf lorsque je cède à mon propre imaginaire !

    Autrement dit, je me prévaut pas du principe de causalité, je me soumet à lui pour comprendre les relations de causalités qui font de notre monde en proie constante à la guerre et à la violence systémique. Lorsqu’on parle d’économie, on parle des moyens pour subvenir à ses besoins et je vous ait donné les 4 moyens connues où on peut voir que c’est la nature d’être protectrice (herbivore) qui nourrit toutes les autres du monde animal. C’est à dire, celui qui admet le principe de l’échange juste où personne ne vient lui prélever un impôt indu tel le profit ou l’intérêt usuraire. Cela ne touche pas vraiment aux relations humaines, mais au système économique qui traite des moyens de subsistances.

    Et je vous en donne l’argumentation (certes simpliste et incomplète), par le fait de la division de natures d’êtres qui ont tout intérêt à s’unir pour remettre à sa place les natures prédatrices, opportunistes et parasites à leur place naturelles (donc, où il ne s’agit pas de les éliminer, c’est impossible selon le principe de causalité, seulement les décaler comme ordre secondaire). Ce qui ne détruit pas le principe des nations, mais tout comme la nation française est l’agrégation de peuples différents, soumettre les nations aux mêmes lois communes fondée sur le principe d’équité et de mérite personnel.

    Dans l’histoire de l’humanité récente avec l’avènement des cités et des nations telles que nous les connaissons, toutes les nations ont trouvés une paix relative intérieure que par l’unité via des lois communes. Cela découle du principe de causalité et lui seul, je ne fais que l’observer en me soumettant à lui dans la réalité, mais pas dans mon imaginaire.



  • Hervé Hum Hervé Hum 16 avril 18:58

    @Francis, agnotologue

    relisez vous, vous écrivez une chose et son contraire, puisque écrivant que le principe de causalité est comme avoir qu’un marteau et voir tous les problèmes en termes de clous, vous écrivez à la phrase suivante, « toute la question est de connaitre les causes et d’identifier correctement les effets »

    Autrement dit, vous voulez me contredire, pour finir par affirmer la même chose que moi, car qu’est ce donc que de connaître les causes et d’identifier correctement les effets si ce n’est de décrire le principe de causalité et où donc il s’agit effectivement d’identifier correctement la relation causale.

    Moi je vous dis que la cause est la prédation humaine et dont l’effet ou plutôt le moyen pour exercer le plus efficacement cette prédation passe par la division du monde en nations souveraines qui rend impossible la paix entre les peuples, puisque cela n’a jamais fonctionné à l’intérieur de chaque nations composés de plusieurs peuples tant que ces mêmes peuples réclamaient la souveraineté les uns vis à vis des autres via leur élite prédatrice. La paix ayant été le résultat de l’unification. Malgré les faits que l’histoire nous le crache à la gueule depuis quelques millénaires sous toutes les latitudes, les humains de nature protectrices persistent à suivre les autres natures qui se nourrissent sur le fruit de leur travail. C’est à dire, fondé sur le principe du mérite personnel, qui interdit l’appropriation de celui d’autrui à son profit, sur lequel repose la prédation (c’est plus complexe, mais je ne vais pas développer ici).

    Sachez que la fin ne justifie pas les moyens (sauf dans tous les cas où il y a le choix de différents moyens) mais elle les nécessites.

    Cela veut dire que l’être en tant que tel, c’est à dire, doté de volonté, donc, de conscience se défini par la finalité, le but qu’il se propose d’atteindre, mais il ne peut atteindre un but quelconque uniquement que s’il dispose d’un moyen, sans cela, il ne le peut en aucune manière. Ceci est vrai que ce soit pour un Dieu tout puissant, un humain ou une fourmi. Donc, le principe de causalité est l’unique moyen dont dispose l’être pour atteindre un but quelconque, sans ce dernier, il ne le peut pas (là encore, seul le développement peut en apporter la démonstration).

    Bref, si vous ne disposez pas d’un marteau et de clous, vous pourrez construire quelque chose de solide qu’en leur trouvant une alternative, qui peut être des cordes, des lianes, de la colle selon ce que vous voulez construire, mais si vous ne disposez d’aucun moyen disponible, je peux vous assurer que tout ce que vous voudrez construire n’aura de réalité que dans votre seul imaginaire.

    Or, le seul outil dont dispose la nature d’être prédatrice humaine pour manipuler et dominer la nature d’être protectrice, c’est la nation car elle divise l’humanité en groupes dont on persuade que l’autre veut lui nuire et qu’il faut donc des chefs de guerres (y compris économique) pour mener la lutte. Le pire étant pour cette nature prédatrice l’unité des natures d’être protectrice fondée sur le principe de mérite personnel.

    Bien sûr, je reste sur une base simpliste pour rester dans le cadre d’un commentaire.

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