Sous la 5° pseudo République l’immense majorité de la presse a toujours été aux ordres du pouvoir avec des pressions plus ou moins fortes selon le caractère du monarque. Il est vrai que sous le règne fors peu éclairé de notre Badinguet II cela atteint des sommets.
Tout ce qui est excessif est insignifiant disait Talleyrand.