D’accord avec « djschorn » sur la vision minimaliste de la politique.
On pourrait aussi la qualifier de « réductionniste », de « binaire », « d’irréaliste » : les multiples failles de ce raisonnement ouvrent la voie à une belle liste d’épithètes...
Il en résulte une mise en accusation de la politique et des politiques tout à fait outrancière.
Je me demande si M Crouzet ne nous invente pas une nouvelle forme de poésie ?
Mais alors qu’il explique comment elle est supposée fonctionner !