oui, bon, les histoires des « battants » qui rêvent de se débarrasser des « geignards »...le mieux c’est que l’auteur aille se battre tout seul comme un « battant », et effectivement qu’il aille ailleurs pour le faire, parce que les « battants » (winners en américain, j’ai supposé cette traduction...), leur monde idéal de compète et de chacun pour sa gu..le, hein !
vous n’avez pas le monopole du battantisme, l’auteur !