@Michel Koutouzis
Vous dites : "Cette cuve commune des affaires, cette activité
polymorphe, cette division du travail, empêchent l’identification, et
noient les activités illicites sous le parapluie d’activités acceptables
sinon honorables. En conséquence, il n’est pas étonnant que les
associés des grandes enseignes ayant leurs usines offshore à l’île
Maurice - pour ne donner qu’un exemple -, soient en fait des barons de
la drogue, seuls capables de générer par cette activité quelques quatre
cent millions de dollars annuels. Dans ce cas précis, les grandes
enseignes voudraient-elles se séparer de leurs associés encombrants
qu’elles ne le pourraient pas : une des conditions pour créer une
entreprise offshore dans ce pays étant d’avoir un associé local."
Vous résumez bien l’un des problèmes du crime organisé...
Mon avis
J’ai lu en diagonal votre prose. C’est excellent !
Comme d’habitude.
Je le lirais sérieusement ce soir, bien sûr...
Les chiffres importent peu, ce qui est important c’est la tendance et surtout comment on maquille la réalité.
Eux aussi, ils savent profiter de la mondialisationi : en clair ils s’adaptent...
De nos jours on sait que l’argent du crime est partout y compris dans les banques les plus sérieuses.
Ce qui est amusant c’est qu’il y a des personnes qui pensent que cet argent n’est pas dans le circuit officiel.
Je vous remercie de le rappeler...
Cordialement
Leo Le Sage