Conclusion :
au contrôle des foules par la violence politique, comme en usait à satiété
Hassan 2, Mohamed 6 a substitué un contrôle économique décuplé, en y associant
davantage de partenaires économiques étrangers (principalement français) afin
de s’assurer leur protection politique (quand il n’offre pas tout simplement un
Riad
pour services rendus !), mais sans toutefois renoncer aux « bonnes
vieilles méthodes » de son prédécesseur de père (faut quand même pas
pousser mémé dans les orties !). Les contradictions sociales et économiques
n’ont pour autant pas disparu, et suivant l’implacable loi de l’entropie ne
font que s’aggraver, jusqu’au jour où…