@ Romain.
Tu as peut-être raison, mais je crains que le critère que tu retiens (le souci de l’impact des actions de l’homme sur la condition animale) ne soit pas réellement significatif. Et cela pour une raison simple : l’homme, dans ses composantes gouvernantes ou industrielles, se soucie le plus souvent très peu, voire pas du tout, des conséquences de ses actes sur ses propres congénères humains.