Il faut, Nabum, rendre à cette expression tout son mérite : poétique, sémantique, historique. Sa douceur n’est pas mièvrerie mais fécondité.
Rendons hommage à ces mariniers de la douceur et de l’art de vivre qui apportaient de quoi se nourrir, se chauffer, construire tandis que les marins d’eau violente dès le début colonisaient, massacraient, se livraient aux razzias, aux rapines, à l’esclavagisme.
Le marin d’eau douce c’est l’humain d’abord !