« En proposant Christine Lagarde au poste de patronne du FMI, la France pensait être à l’abri de tout nouveau dérapage »
C’est faux. L’instruction de l’affaire a commencé avant qu’elle soit nommée au FMI et son rôle était bien connu. Plusieurs médias se sont d’ailleurs interrogés sur l’opportunité de cette nomination, dans la foulée, justement, de l’affaire DSK.