Le docteur Hammer a raison sur son analyse de la globalité, mais il a eu tort de vouloir se substituer aux équipes médicales, et de culpabiliser le malade en lui disant chaque fois que c’était lui qui créait sa maladie. Même si c’est vrai sur le fond, le malade n’y peut rien, et il faut plutôt chercher les moyens de parer aux accidents de la vie.