On ne saurait trop
féliciter l’auteur du présent article, qui permet d’espérer un retour prochain
des pages les plus lumineuses de notre histoire, celles où l’on voyait
triompher "la raison du plus intelligent et du plus honnête contre la
bêtise et le cynisme politique anti-humaniste".
Mais le bon sens et
la lucidité de notre auteur sont, chez lui, rendus « stériles » par une
trop grande timidité dans les généreuses propositions visant, "au plus
vite", à protéger les possibles futures victimes, entre autres, du Musée
juif de Bruxelles.
Pour être vraiment
efficace, « une veille préventive » pourrait par exemple inclure, dans
« une France recouvrant sa liberté d’analyse et d’action »,
l’obligation faite aux potentielles victimes de porter un signe distinctif bien
visible, par exemple une étoile de couleur vive.
Ceci permettrait aux
citoyens normaux d’intervenir à temps, auprès des autorités compétentes, pour
faire rectifier leur comportement irresponsable aux citoyens victimables par
trop négligents.
On en voit trop qui,
visitant sans le moindre scrupule tel ou tel musée, réaniment chez les porteurs
du « bacille de la peste djihadiste », l’envie d’employer des moyens définitifs
de leur apprendre à vivre.
Sur son site du
Nouveau Nouvel Obs, notre auteur écrit ceci : »Le
monde est plié en deux ; plus qu’une promesse : précarité et
abrutissement. Aussi, quiconque aujourd’hui n’est pas en colère est soit un
escroc, soit un imbécile, soit un salaud.«
Je remercie
l’écrivain de me protéger, par la grande sagesse qui l’a conduit à rédiger le présent article, de m’éviter les
trois terribles affections.