N’y aurait-il pas dans cette baisse de l’or un rôle des banques centrales qui incitent à acheter de la monnaie ? D’autre part, une crise n’est pas prévue. Si elle l’était, elle n’en serait probablement pas une. Les investisseurs choisissent actuellement plutôt des placements risqués comme les valeur technologiques ou des placements qui leur paraissent sûr : les obligations d’Etat. Mon analyse n’est pas du tout celle des économistes qui, au contraire, n’arrêtent pas de prédire de beaux jours entre le miracle du gaz de schiste, la croissance chinoise ou la croissance africaine qui constitue elle aussi une bulle, comme d’habitude, car elle repose sur les matières premières.