Scual, bonjour.
Quand je dis que personne ne m’aide à comprendre ce qui se passe, je
sous-entend : électoralement, en France. Car à mes yeux les péripéties
qui alimentent les discussions sur le FdG sont plutôt le reflet que la
cause d’un malaise aussi évident que préoccupant pour l’avenir.
Et je crains bien que les divergences stratégiques et tactiques en
son sein ne soient en rien responsables de l’absence de pression
populaire (c’est peu dire) en faveur de ce qui serait un Front
populaire bis : le Front de Gauche est demeuré ce qu’il était au départ,
un montage pour les élections ; montage qui, en complément, ne remporte
pas de franc succès. Il n’est pas né d’un désir populaire profond, venu
des masses, c’est ce qui se constate. A la base, au moins pour le moment, je ne sens aucune
vivacité, et c’est peu dire ( bis).