Cette variabilité n’est pas raciale. Elle distingue des individus ou des groupes sut telle ou telle caractéristique particulière, sans aucune cohérence d’ensemble qui permettrait de les identifier globalement. Tous les humains sont inter-féconds et donc les différences se distribuent, comme elles l’ont toujours fait en fonction des migrations et des échanges et de plus en plus nombreux
Même sur le plan culturel les grands ensembles vont évoluer en combinant leurs caractéristiques transmises par la tradition, voire perdre tout ou partie d’entre elles, (nous avons perdu les traditions religieuses celtiques et une certaine tradition politique théocratique catholique).
L’auteur à tout à fait raison sur ce point central et anti-raciste : les hommes construisent l’universel humain dans une incessante combinatoire génétique et culturelle créatrice de nouveauté.