motivé son refus par l’exigence de préserver la stabilité des relations internationales : on peut être certain que d’un, le JIT savait à peu près avant toute enquête que l’Ukraine avait quelques motifs pour ne pas vouloir la transparence, de deux, si les forces indépendantistes étaient probablement à l’origine de l’« accident », le JIT ne se gênerait certainement pas pour divulguer l’information.
Et surtout, la Malaisie n’est pas un « bon » pays, surtout du temps de Mahathir Mohamad, bon voulant dire dans la ligne de vassal de l’empire.
Les bonnes enquêtes sont les enquêtes qui vont dans le sens de ce que l’empire veut faire savoir, les autres, il faut un consensus pour diffuser l’information. C’est-à-dire jamais.