@Jean Keim
La réflexion sur le droit de propriété tel que nous le connaissons sur les grandes propriétés clôturées, tout comme le droit de propriété sur les montagnes d’argent, est de nature à s’ajouter aux menaces portées par l’évolution technologique.
Votre raisonnement sur le « match nul » en cas de baisse généralisé, je l’ai entendu mille fois, ne serait-ce que pour faire entendre raison à un proprio qui pense que sa maison vaut le prix du parthénon
Mais ? L’Etat par exemple, lui ? si l’immobilier chute de 30 % ? sa part à l’Etat ?
Ce sera au forceps la transition