@Alex Térieur
---"Je me demande bien ce que penserait le Général en voyant des patriotes
faire la fine bouche devant la perte de souveraineté de la nation !"----
Je crois que le traitre intégral dirait bravo mes enfants.
La grande ZOHRA a commencé à couler la France vaincue par le juiverie volontaire.
Fred Zeller, ancien Grand Maître du Grand Orient., rapportait dans Europe Parlement le »
mot » de De Gaulle, à la Libération :
« Je vais redonner la République à la France, il n’y a aucune raison pour que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons » et Zeller reconnaissait :
“
Il nous a redonné force et vigueur ».
Tel est l’individu pour lequel tant de »
nationaux « , de
Rivarol ,
à Tixier-Vignancour et à Le Pen , entre autres, ont voté au référendum
de 1958 et dont la suite de sa « carrière », allait confirmer
l’ignominie.
Dès son arrivée au pouvoir à Alger, il rétablissait, le décret Crémieux abrogé par Vichy.
Ce décret redonnait unilatéralement et
en bloc la nationalité française aux seuls Juifs, alors que comme en
1870 les musulmans venaient de se battre pour la France.
Aussi est-il bon de rappeler comment il se vante dans ses
Mémoires d’Espoir, de les avoir trompés :
“Si de but en blanc j’affichais mes intentions, une vague de stupeur(s) et de fureur(s) eut fait chavirer le navire ».
« Sans jamais changer de cap, il me faudrait donc manœuvrer », p. 60-61.
Ayant réussi à amener l’armée à
capituler, l’autre ignominie, avec le mitraillage des Français par le
général Katz aux origines sémites, sera de livrer les harkis.
Le télégramme secret du 16.5.1962, N° 125/IGAA, ordonnait :
« Le ministre d’Etat Louis Joxe
demande au Haut commissariat de rappeler que toutes les initiatives
individuelles tendant à l’installation ( en ) Métropole ( de ) Français musulmans sont strictement interdites ».
Une nouvelle directive de Joxe, du 15 juin 1962, enjoignait :
« Vous voudrez bien rechercher, tant
dans l’armée que dans l’administration, les promoteurs et les complices
de ces entreprises de rapatriement et de faire prendre des sanctions appropriées « .