Curieuse analyse d’une loi mortifère.
Bien sur que le patron pourra, si ça lui chante, imposer ou interdire des comportements religieux au nom de la « nécessités du bon fonctionnement de l’entreprise ».
Mais il faut bien comprendre que dés lors que le licenciement devient une formalité le patron pourra imposer tout ce qui lui chante.On connait la puissance du chantage à l’emploi !
Alors applaudir cette loi en regrettant ce détail est complètement ahurissant.
Cela révèle simplement les incohérentes phobies de l’auteur
Le second point ahurissant est la mise au rebut des accords de branches.
C’est un peu comme si un maire pouvait outrepasser les lois de la république sur sa commune au prétexte que la majorité du conseil municipal est d’accord.
Curieux que les législateurs qui trouvent cette « liberté » indispensable en entreprise ne l’applique pas aux collectivités...