@flourens
Quelle canaille ?
Une canaille peut avoir de l’honneur, le sens de l’intérêt général, une parole, du courage...les cheminots, comme les cgtistes n’ont rien de tout cela, ce ne sont que des petites crapules assoiffées de rente, de droits, de privilèges, de temps libre, de primes.
Ce n’est qun ramassis de branleurs prédateurs qui vit aux crochets de la collectivité laquelle n’a d’autres choix que de se serrer la ceinture, toujours un peu plus, pour payer, pour financer les dépenses somptuaires de ces irresponsables de la CGT, de la SNCF.
Ce ne sont pas les patrons qui financent les privilèges, les dépenses somptuaires des cheminots, c’est le peuple, ce sont les travailleurs qui payent toujours plus d’impôts pour combler les déficits provoqués par les avantages que les petits marquis de la SNCF soutirent au pays par leurs chantages, par leurs menaces, par leurs grèves incessantes autant qu’injustifiés.
Le patronat n’en a rien à battre de la décomposition d’une société publique telle que la SNCF, il attend tranquillement qu’elle s’effondre, qu’elle s’écroule, qu’elle disparaisse pour la remplacer par une ou des sociétés privées dont ils auront la gestion et qui fonctionneront à leurs conditions.
Il se passera exactement ce qui s’est passée pour la SNCM société que ses employés cgtistes ont pillé, ont volé, sans aucune retenue, sans aucun scrupule pendant des années et des années jusqu’à ce qu’elle doive fermer ses portes, du fait de ses déficits considérables pour devenir une société privée.
Les charlots de la cgt et de la SNCF se gargarisent de grandes phrases sur la luttes des classes, sur la lutte contre le patronat alors que ce dernier n’est pas partie prenante dans l’affaire, puisqu’il s’agit d’une entreprise publique. Le patronat attend sagement que la bêtise, la cupidité, le comportement prédateur et irresponsable des cheminots fasse son œuvre pour rafler la mise.