J’ajoute que ce sont là les conditions minimales à faire respecter dans l’urgence.
Il faut, sur un terme plus long, que l’Etat et les collectivités aillent dans le sens d’une meilleure protection des femmes musulmanes, de meilleures conditions de liberté pour elles, et de parité avec les hommes.
C’est par le dialogue que l’on peut espérer avant tout une plus grande conformité de l’islam à nos principe, la contrainte n’étant que l’ultime recours si elle est vraiment justifiée. Par la stigmatisation politicienne, on aboutit aux résultats contraires, hélas.