@Bertrand Loubard
Les féministes parlent d’un progrès considérable parce que jusqu’à présent la femme arabe était considérée comme une pièce du mobilier. Grâce à cette décision inespérée, la femme aura dorénavant droit à autant d’égards qu’une ânesse, une chèvre, une brebis ou une chamelle.
On imagine sans peine les implications. Alors que jusqu’ici une femme maltraitée n’avait aucun recours, elle pourra désormais se plaindre auprès de la société protectrice des animaux. Et si elle est soudainement frappée d’une maladie qui la rend « inutilisable » pour son mari, au lieu de la répudier, celui-ci devra au minimum lui payer les frais de vétérinaire.