Je maintiens mon propos : Nietzsches fut un infirme devant l’existence. Sa vie est en complète contradiction avec ce qu’il propose. Le grand Fritz n’est rien d’autre qu’un petit-bourgeois qui joue au grand seigneur, mais il y joue de façon génial, c’est vrai. Et Cioran lui reconnait effectivement du génie, sans que celà ne l’empêche de qualifier Nietzsches de littérature pour adolescent. Aurais-je commis un blasphème ?
PS : quant à lire Nietzsches en version allemande, c’est une bien curieuse façon de lui rendre hommage, puisqu’il avait honte de cette sienne langue et la trouvait plutôt vulgaire, comparée au français...