L’attitude de complaisance de l’Europe et de la France s’explique comme d’habitude par le chantage d’Erdogan, adressé aux Européens :
si vous ne me laissez pas m’occuper des Kurdes comme je l’entends à Afrin, je vous enverrai mes 3.5 millions de réfugiés. Ce qui ne manquerait pas de générer une crise majeure chez vous.