@Fanny
vous avez sans doute loupé les passages :
La concurrence directe demeure en effet très limitée sur le réseau japonais. Le territoire a été divisé en six zones et, dans chacune d’elles, chaque société JR dispose d’un monopole sur le réseau
On constate donc qu’il est très abusif aujourd’hui de parler de privatisation des chemins de fer japonais
la durée du temps de travail est en cours de diminution et que les salaires ont fortement augmenté dans certaines sociétés. Au sein de la compagnie JR East, les salaires sont passés de l’indice 100 en 1987 à l’indice 147 en 1996.
les compagnies peuvent envisager de fermer une ligne, dès lors qu’elle n’assure pas le transport de 2.000 personnes par jour.