Tout le discours de jancovici découle du rapport du giec qui attribue un supposé dérèglement climatique à l’augmentation mineure du CO2 (eu égard à sa petitesse et aux nombreux composants de l’atmosphère ), en occultant sciemment ou non d’incommensurables facteurs tels que les cycles relatifs des planètes et du soleil.
Aussi, ce discours magistral de technicien (fût-il de bon niveau) devient, par ses déductions péremptoires, de données, de règles de trois, de pourcentages et d’additions du genre 1+1=2, la théorie officielle implacable qui « ratifie » rationnellement les rapports du GIEC et justifie les taxations tous azimuts orchestrées par la classe politique
La variation du CO2 est l’arbre qui cache la forêt des pollutions de l’atmosphère, de l’eau et des terres, par des décennie d’épandages de produits chimiques toxiques ; pollutions qui, pour le coup sont une certitude incontestable, et une nuisance pour tout ce qui vit sur terre